Traitement et prise en charge

13 septembre 2021

Programme ECHO® CHUM hépatite C et problématiques des troubles de l’usage 2021-2022

Formation pour soutenir la prise en charge des personnes atteintes d’hépatite C

Vous aimeriez dépister et traiter votre clientèle atteinte d’hépatite C?

Vous aimeriez être formé et accompagné par une équipe multidisciplinaire?

Le programme ECHO® CHUM hépatite C et problématiques des troubles de l’usage offre une activité de formation par télémentorat souple et adapté à vos besoins.

31 août 2021

Traitement accéléré des partenaires : webinaires disponibles en ligne et mise à jour des aide-mémoire et de la Carte de notification chlamydia/gonorrhée

Lorsqu’un clinicien évalue qu’il est peu probable qu’un ou des partenaires d’une personne atteinte d’une infection à Chlamydia trachomatis ou à Neisseria gonorrhoea consultent pour un dépistage et un traitement épidémiologique, le traitement accéléré des partenaires (TAP) peut être envisagé. Le pharmacien a aussi un rôle clé lors de la remise (ou la prescription) d’un TAP, que ce soit au niveau du counseling ou pour expliquer au partenaire l’importance d’aller consulter pour un dépistage adapté à sa situation.

11 juin 2021

La thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH

Guide pour les professionnels de la santé du Québec

Pour soutenir l’expertise des cliniciens en matière de thérapie antirétrovirale, le guide La thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH - Guide pour les professionnels de la santé du Québec et sa version résumée Le résumé du Guide pour les professionnels de la santé du Québec ont été mi

29 avril 2021

Webinaires destinés aux pharmaciens et aux cliniciens : Comment traiter les partenaires sexuels qui ne consultent pas?

Le traitement accéléré des partenaires (TAP) de personnes atteintes d’infection à Chlamydia trachomatis ou à Neisseria gonorrhoeae

Lorsqu’un clinicien évalue qu’il est peu probable qu’un ou des partenaires d’une personne atteinte d’une infection à Chlamydia trachomatis ou à Neisseria gonorrhoea consultent pour un dépistage et un traitement épidémiologique,

19 janvier 2021

Rentrée 2021 : deux formations en ligne sur les ITSS

Dépistage des ITSS et Formation médicale continue

L’équipe des formations en ITSS, Diversité et substances psychoactives de l’INSPQ est bien heureuse de diffuser deux formations sur les ITSS, en ligne depuis le 18 janvier 2021, dans le contexte de suspension des activités en personnes.

Formation Dépistage des ITSS – agir avec compétence, adapter les interventions

2 novembre 2020

Appel à la vigilance du MSSS sur l'infection gonococcique

Emergence de souches non sensibles à la céfixime

La résistance de l’infection à Neisseria gonorrhoeae aux antibiotiques augmente au Québec. C’est pourquoi, la Direction de la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a émis l’appel à la vigilance à l’intention des cliniciens qui offrent la détection ou le traitement de cette infection (aussi disponible en PJ).

2 octobre 2020

Perspectives québécoises en lien avec l’article du RMTC : ‘Considérations portant sur les taux croissants de gonorrhée et de gonorrhée résistante aux médicaments : il n’y a pas de temps à perdre.’

Nous vous en avons déjà parlé à plusieurs reprises, N. gonorrhoeae est une super bactérie. Non seulement elle adopte fréquemment de nouvelles mutations lui permettant de résister aux antibiotiques utilisés pour le traitement, mais elle les conserve. Quand d’autres bactéries perdent leurs anciennes résistances, permettant ainsi de revenir à d’anciens traitements ou combinaisons de ces traitements, N. gonorrhoeae conserve tout ce qu’elle a acquis au fil du temps. Elle se transforme lentement mais sûrement en bactérie multirésistante.

28 juillet 2020

Les PVVIH ne semblent pas plus à risque de contracter la COVID-19, ni qu'elle soit plus sévère

Veille scientifique ITSS et Covid-19

Avec presque 6 mois de pandémie de COVID-19, des cas de coronavirus sont aussi survenus chez des personnes vivant avec le VIH (PVVIH), qu'elles soient séropositives, mais avec une charge virale indétectable, ou encore en phase de SIDA. La communauté scientifique a maintenant un peu plus de recul pour se prononcer sur la dangerosité du SRAS-CoV2 , et de la sévérité de l'atteinte qui en découle.