Dans le Portrait des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) au Québec, on constate une hausse du nombre d’infections à Chlamydia trachomatis (Ct) et à Neisseria gonorrhoeae (Ng) au fil des années. On estime que cette augmentation est entre autres le reflet d’une meilleure capacité de détection des infections et d’un dépistage plus intensif dans la communauté. Il reste que malgré tout, l’épidémiologie exposée dans le Portrait des ITSS nous renseigne à l’effet que ces infections sont bien présentes au sein de la population et que la situation est préoccupante.
Un groupe de chercheurs a voulu dresser le portrait de la prévalence de ces infections chez...