Le 29 novembre dernier, le « Portrait des ITSS au Québec : année 2018 (et projections 2019) » a été diffusé par l’INSPQ. Nous ne vous l’avions pas encore partagé, car il s’accompagne maintenant d’une présentation power point résumant les informations clés disponibles dans le rapport. Le portrait vise à fournir de l’information et une réflexion sur l’émergence, l’ampleur ainsi que la progression de ces infections et de leurs déterminants afin d’orienter les interventions et la planification des ressources nécessaires en matière de lutte contre les ITSS. Il fait état de la situation épidémiologique de l’infection à Chlamydia trachomatis, de l’infection gonococcique, de la syphilis, de la lymphogranulomatose vénérienne, de l’hépatite B, de l’hépatite C et de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Également cette année, la section concernant les populations vulnérables (les jeunes âgés de 15 à 24 ans, les jeunes en difficulté (par exemple, les jeunes de la rue), les hommes gais et autres HARSAH, les personnes qui utilisent des drogues, les personnes incarcérées, les Québécois originaires de régions où la prévalence du VIH est particulièrement élevée, les autochtones ainsi que les travailleurs et travailleuses du sexe) regroupe un plus grand nombre de résultats issus de différentes sources de données.