Couvrir la violence conjugale

Ce texte a été rédigé par le Conseil de presse du Québec.

Fondé en 1973, le Conseil de presse du Québec (CPQ) est un organisme à but non lucratif veillant à la protection de la liberté de la presse et du droit du public à l’information. Formé de représentants du public, de journalistes et de dirigeants de médias d’information, le CPQ fait la promotion des plus hautes normes en matière de déontologie journalistique. Le CPQ agit comme tribunal d’honneur de la presse québécoise tant écrite qu’électronique. Il ne peut être assimilé à un tribunal civil, il ne possède aucun pouvoir judiciaire, règlementaire, législatif ou coercitif; il n’impose aucune autre sanction que morale. La rigueur de ses interventions, ainsi que la confiance et l’appui que lui manifestent les médias et le public, lui confèrent une autorité indéniable.

Principes déontologiques : la déontologie constitue un ensemble de règles encadrant l’exercice d’une profession. On ne peut les outrepasser sans encourir une sanction.

Jurisprudence : « Ensemble des décisions d’un tribunal; manière dont un tribunal juge habituellement une question. » Le Petit Robert dictionnaire de la langue française 2002, Paris, Dictionnaire Le Robert, p. 1437.

Le regard posé par la société sur certaines questions, telles que la violence conjugale, passe en partie à travers le prisme des médias. Afin que le traitement médiatique offre un éclairage le plus complet possible, sans porter préjudice aux victimes et à leurs proches, les journalistes s’assurent de bien connaître le phénomène de la violence conjugale et de respecter quelques principes déontologiques tels que :

  • le droit du public à l’information
  • le respect de la vie privée des personnes qui vivent des drames humains
  • l’obtention d’un consentement éclairé
  • la diffusion d’information exacte
  • le respect des règles entourant la couverture judiciaire
  • le respect de la sensibilité du public.

Le CPQ s’est penché sur la pratique journalistique lors de la couverture d’épisodes de violence conjugale, notamment à travers une étude sur la couverture médiatique des homicides intrafamiliaux.1 Dans ce cadre, un forum de discussion réunissant des journalistes, des experts, des intervenants et des proches de victimes a été organisé.

La jurisprudence du CPQ permet d’illustrer ces principes déontologiques et de voir comment ils sont appliqués dans des cas de couvertures concrètes par des médias. Même si les reportages mis en cause dans les plaintes analysées par le CPQ ne traitaient pas nécessairement de cas de violence conjugale, les arguments motivant les décisions du tribunal d’honneur s’appliquent également à ce type de couverture.

Principes déontologiques

Droit du public à l’information

Le phénomène de la violence conjugale est bien réel. L’une des missions des médias étant de rendre compte du monde dans lequel nous vivons, il est nécessaire que les médias en témoignent afin d’informer le public sur cette réalité.

  • Pour remplir ce mandat, les journalistes et les médias d’information recherchent, collectent, traitent, commentent et diffusent, en toute indépendance, l’information d’intérêt public, affirme le préambule du Guide de déontologie journalistique du Conseil de presse du Québec.2
  • Le Guide rappelle également que « les journalistes et les médias d’information sont d’abord et avant tout au service du public et que, dans leurs choix ou leur traitement rédactionnels, le droit du public à l’information prime sur toute autre considération ».2
  • Le Guide note que « les médias et les journalistes doivent viser, en toute situation, à offrir au public une information de qualité ».2

Respect de la vie privée des personnes qui vivent des drames humains

« […] le respect de l’intérêt public amène journalistes et médias d’information à privilégier les informations pouvant répondre aux préoccupations politiques, économiques, sociales et culturelles des citoyens afin que ceux-ci puissent participer de manière éclairée à la vie démocratique ».2

La violence conjugale est un sujet délicat à traiter en raison de la détresse et de la vulnérabilité des victimes et de leurs proches. La question est d’autant plus sensible qu’il s’agit d’événements liés à l’intimité d’un couple et d’une famille. Les journalistes recherchent un équilibre entre le droit du public à l’information et le respect de la vie privée des personnes impliquées.

  • Le Guide stipule que « les journalistes et les médias d’information respectent le droit fondamental de toute personne à sa vie privée et à sa dignité ». Cependant, lorsque des éléments de la vie privée sont d’intérêt public, ils peuvent privilégier le droit du public à l’information. (Guide art. 18 (1) et (2))
  • Le Guide demande aux journalistes de faire preuve «de retenue et de respect à l’égard des personnes qui viennent de vivre un drame humain et de leurs proches. Ils évitent de les harceler pour obtenir de l’information et respectent leur refus d’accorder une entrevue ». (Guide art. 18.1)

    Dans une décision rendue en 2011, le CPQ a jugé que les conditions dans lesquelles un journaliste a interviewé une mère, dont le fils était accusé de conduite dangereuse ayant causé la mort, n’étaient pas équitables et ne respectaient pas ses droits à la dignité et à la vie privée. La femme a été enregistrée et filmée sans son autorisation et a dû regarder une vidéo montrant son fils boire de l’alcool en conduisant. On a exigé qu’elle réagisse à vif sans avoir un moment de réflexion. Aux yeux du CPQ, « tout cela constituait du journalisme d’embuscade, un abus de pouvoir et un comportement inéquitable aucunement justifié par l’intérêt public. Ceci est d’autant moins acceptable que le journaliste constatait clairement que la mère était fortement perturbée et en désarroi suite aux événements qui se bousculaient dans sa vie personnelle ». Le CPQ a également estimé que la diffusion de cette entrevue constituait une faute déontologique encore plus sérieuse puisque les responsables ont eu le temps de constater qu’elle n’apportait rien de pertinent. Malgré cela, ils ont choisi de la diffuser, exploitant ainsi le drame vécu par cette femme. Décision CPQ 2011-03-075

  • Le précédent guide de déontologie du CPQ, Droits et responsabilités de la presse (DERP), précisait que les journalistes doivent écarter « les détails qui ne sont pas d’intérêt public et qui, souvent, n’ont rien à voir avec l’incident rapporté ». Il faisait valoir que ces détails relèvent de la curiosité publique et peuvent causer un tort à la victime ou à ses proches.3

    Le CPQ a conclu que la retranscription et la diffusion d’une conversation entre une alpiniste en difficulté et une téléphoniste du 911 avaient porté atteinte à la vie privée de la femme attendant les secours. Le CPQ a estimé qu’il n’y avait pas d’intérêt public à retranscrire et diffuser cette conversation. « Le seul intérêt de l’article était d’exposer la détresse de la plaignante, ce qui constitue une intrusion dans sa vie privée », note le Conseil. Décision CPQ 2010-10-031

  • Afin d’illustrer un reportage, les médias ont parfois recours à des photos dénichées sur un profil Facebook. Le CPQ a déterminé que s’il s’agit d’une photo apparaissant dans une section publique et qu’elle est d’intérêt public, les médias peuvent la diffuser parce qu’elle est déjà accessible. 

    Dans une décision rendue en 2014, le CPQ a affirmé : « Le Conseil constate que la photo du profil Facebook [du plaignant] était publique, sélectionnée par lui-même et accessible à tous. L’intérêt public du reportage justifiait sa diffusion ». Décision CPQ 2013-05-112-2

  • Avant de diffuser des informations permettant d’identifier une personne victime d’accident ou d’actes criminels, les journalistes s’assurent que les proches ont été avisés. (Guide art. 21( 1))

    Même s’il jugeait « d’intérêt général » la diffusion d’un reportage rapportant un accident de voiture ayant fait une victime, le CPQ a estimé que le média avait manqué de respect « envers les membres de la famille de la personne accidentée en diffusant, avant que ces derniers en soient avisés, des détails permettant l’identification de la victime ». Les images diffusées montraient notamment la plaque d’immatriculation du véhicule, l’âge et le lieu de résidence de la victime, ainsi que certains de ses effets personnels. Décision CPQ 2012-01-050

Obtention d’un consentement éclairé

Au moment des faits, les proches et les personnes impliquées dans une situation de violence conjugale peuvent être en état de choc et ne sont pas nécessairement en mesure d’évaluer les impacts que pourraient avoir la publication ou la diffusion de leurs propos. Il faut s’assurer d’obtenir un consentement éclairé.

  • Le Guide rappelle que les médias doivent être prudents « avant de diffuser les propos de personnes en situation de vulnérabilité ». (Guide art. 26) 

    Dans une décision rendue en 2014, le CPQ a estimé que le journaliste a manqué de discernement en obtenant abusivement le consentement d’une femme qui venait d’apprendre le suicide de son fils. « Il y avait lieu de tenir compte de la situation extrême que la plaignante vivait et de sa vulnérabilité qui en découlait, et de mettre en doute le caractère libre et éclairé de [sa] décision ». Décision CPQ 2014-04-112

    Lors du forum de discussion organisé par le CPQ en avril 2014, une journaliste rapporte avoir refusé de réaliser une entrevue avec une femme qui venait de perdre son enfant. « Elle insistait pour nous donner une entrevue. J’ai vu qu’elle n’était pas en état de le faire et je lui ai dit : “je pense que vous devriez attendre un peu”. Ce qu’elle disait n’était pas cohérent, elle était démunie, n’avait personne, pas de ressources. On a fait une entrevue, mais deux jours plus tard ».4

  • Si une source retire son consentement avant la diffusion d’un reportage, le média décide de diffuser ou non le témoignage en soupesant l’intérêt public de publier cette information et les raisons invoquées par la source pour ne pas la diffuser. Il prend également en considération les inconvénients qu’entraînerait, pour sa source, la diffusion du témoignage.

    Dans une décision rendue en 2014, le CPQ fait valoir que devant le retrait de consentement de la personne offrant le témoignage, « les mis en cause devaient apprécier le tort potentiel qui lui serait causé par la diffusion du reportage, tout en tenant compte de l’intérêt public de l'information rapportée. » Décision CPQ 2014-02-090

Diffusion d’information exacte

Afin que le public ait une représentation fidèle du phénomène de la violence conjugale et afin d’éviter d’ajouter à la douleur des victimes et de leurs proches, les journalistes et les médias font preuve d’exactitude.

  • Les titres, même s’ils doivent être concis et accrocheurs, doivent refléter l’information contenue dans le reportage auquel ils se rattachent. (Guide art. 14.3)
  • Lorsqu’ils abordent les questions touchant la violence conjugale, les journalistes évitent de propager des mythes ou des préjugés afin d’offrir un portrait conforme à la réalité de ce phénomène social. (Guide art. 10.1)
  • Lorsqu’ils rapportent les faits, les journalistes font la distinction entre la cause avérée d’un événement et une hypothèse évoquée par une source. (Guide art. 10.1)

    Le CPQ a retenu des griefs d’information inexacte contre un article dont le titre et l’amorce laissaient croire qu’un accident de la route camouflait le suicide de la conductrice. Il s’agissait d’une hypothèse à l’étude et non un fait avéré. Décision CPQ 2005-11-019

  • Même si l’information est transmise par une source officielle, les journalistes évaluent la fiabilité de cette source. Dans le doute, ils font preuve de prudence, en la validant auprès d’une autre source, par exemple. (Guide art. 11)

    Dans une décision rendue en 1999, le CPQ a fait valoir : « Pour ne pas ajouter à la douleur des proches, l’information se doit au moins d’être exacte et rigoureuse ». Le CPQ constatait que deux journaux avaient publié une information inexacte concernant les circonstances entourant le décès d’un jeune homme parce qu’ils avaient été mal informés par les policiers. Le Conseil soulignait que les journalistes devaient « prendre tous les moyens pour vérifier leurs informations » et rappelait « l’importance du souci que doivent avoir les corps publics […] de renseigner correctement les médias ». Le Conseil invitait les journalistes à faire preuve de prudence dans le processus de cueillette d’informations et rappelait l’importance du travail de terrain. Décisions CPQ 1998-10-27 et 1998-10-28

  • Même si les témoignages des proches et de l’entourage des personnes impliquées peuvent fournir des renseignements sur la présence de signes avant-coureurs, ils comportent certaines limites :

    • les proches peuvent vivre de l’incompréhension, être sous le choc ou dans le déni;
    • le fait qu’un agresseur soit décrit comme un « bon gars » n’exclut pas qu’il puisse être contrôlant ou violent envers sa conjointe;
    • n’étant pas des spécialistes de la violence conjugale, les proches et l’entourage peuvent propager des mythes concernant cette question.

    Pour mettre leurs témoignages en perspective et s’assurer de présenter la complexité du phénomène, les journalistes font appel à des experts. (Guide art. 9 (e))

    Lors du Forum de discussion sur la couverture médiatique des homicides intrafamiliaux, les participants ont discuté de la pertinence de questionner les voisins. « On n’a pas le choix, il faut regarder toutes les sources. Après c’est à nous d’avoir un esprit critique et de juger si c’est bon ou pas de le mettre dans le journal », a soutenu une journaliste.4

  • Avant de reprendre une information diffusée par un concurrent, les médias doivent en vérifier l’authenticité puisqu’ils ont la responsabilité de tout ce qu’ils diffusent ou publient. (Guide art. 11)

    Dans une plainte visant plusieurs médias ayant relayé une information inexacte, le CPQ a jugé que seul le média l’ayant validée auprès d’une deuxième source fiable n’avait pas commis de faute déontologique. Décision CPQ 2013-07-013 (2)

Respect des règles entourant la couverture judiciaire

Qu’ils couvrent un événement de violence conjugale qui vient de survenir ou un dossier judiciarisé, les journalistes respectent les règles encadrant les affaires judiciaires et policières.

  • Le Guide rappelle que « les journalistes et les médias d’information font preuve de prudence et d’équité en matière de couverture des affaires judiciaires et policières, étant donné l’importance des conséquences qui peuvent résulter de cette couverture ». (Guide art. 20)
  • Les médias s’assurent de respecter le droit à la présomption d’innocence de l’accusé et son droit à un procès juste et équitable. Les journalistes ne présentent donc pas une personne comme étant coupable des actes illégaux dont elle est accusée. (Guide art. 20.1 (1))

    Dans une décision rendue en 2014, la commission d’appel du CPQ a jugé que la présomption d’innocence d’une femme qui n’avait pas encore été accusée n’a pas été respectée lors d’une table ronde traitant du meurtre de ses trois enfants. Les membres de la commission ont noté que « le choix du sujet était justifié et que l’émission, dans son ensemble, respectait ce principe », sauf que les propos d’une invitée étaient fautifs. La commission souligne que l’animateur aurait dû rappeler à son invitée l’obligation de respecter le principe de la présomption d’innocence. Décision CPQ 2012-12-064 (2)

  • Le Guide rappelle que « Les journalistes et les médias d’information font preuve de rigueur et de prudence avant d’identifier publiquement des personnes soupçonnées d’actes illégaux, en l’absence d’accusations formelles ». (Guide art. 20.1(2))
  • Les médias ne s’intéressent pas à un dossier uniquement au moment de la mise en accusation. « Dans la mesure du possible, les journalistes et les médias d’information font état du dénouement des affaires judiciaires afin de le faire connaître au public ». (Guide art. 20.2)
  • Les médias ne divulguent pas les antécédents judiciaires « d’une personne ne faisant pas l’objet de procédures judiciaires, à moins qu’une telle mention soit d’intérêt public ». (Guide art. 20.3)
  • Lorsqu’une personne est accusée ou reconnue coupable d’un crime, les médias s’abstiennent d’identifier ses proches, à moins que l’information soit d’intérêt public. (Guide art. 20.4)
  • Lorsqu’une personne mineure est accusée dans un contexte judiciaire, les journalistes et les médias d’information s’abstiennent de publier des informations permettant son identification, sauf s’il existe un intérêt prépondérant à le faire. Dans le cas d’un mineur impliqué dans une affaire judiciaire comme victime ou témoin, son identité doit être protégée, sauf s’il existe un intérêt prépondérant à le faire, que cette personne y consent de façon libre et éclairée et qu’elle est accompagnée par des adultes responsables. (Guide art. 22)

Respect de la sensibilité du public

Qu’il s’agisse d’images montrant un épisode de violence conjugale ou des photos montrant des détails d’une scène d’homicide intrafamilial, les médias doivent choisir de diffuser ou non ces images en prenant en compte la sensibilité du public.

  • « Les journalistes et les médias d’information évitent de diffuser inutilement des images ou des propos pouvant heurter la sensibilité du public ». Dans la mesure du possible, les médias avertissent le public avant la diffusion d’images ou de propos choquants. (Guide art. 18.2)

Autres considérations 

Au-delà des règles déontologiques régissant le travail des journalistes et des médias d’information, le CPQ estime que dans les situations de violence (violence conjugale, agressions sexuelles, suicide, etc.) d’autres considérations devraient guider leur pratique.

  • Le phénomène de la violence conjugale est complexe. La couverture des médias devrait refléter cette complexité afin que le public soit en mesure de bien cerner les enjeux. Les experts peuvent fournir des explications qui reflètent cette complexité.  L’étude sur la couverture médiatique des homicides intrafamiliaux cite deux études canadiennes ayant constaté que la couverture médiatique des homicides conjugaux tend à blâmer la victime, en notant par exemple une attitude provocante ou son infidélité. Dans le cas de l’agresseur, il y a une tendance à le déresponsabiliser puisque l’homicide conjugal est présenté comme un incident isolé et occulte le contexte de violence conjugale.1  Parmi les pistes de réflexion du comité chargé d’étudier la couverture médiatique des homicides intrafamiliaux, on propose de mettre en lumière le contexte ayant précédé l’homicide, c’est-à-dire l’évolution de la relation entre les personnes impliquées. Le comité estime que cela « peut contribuer à faire reconnaître la complexité du phénomène et à en améliorer la compréhension par le public ».1 
  • Les journalistes et les médias d’information devraient éviter les simplifications indues d’une réalité complexe, car cela peut avoir des conséquences sur des personnes vulnérables, sur les proches des victimes et sur la compréhension du public de ce phénomène.
  • Les journalistes devraient faire preuve de prudence dans le choix des expressions utilisées, afin de ne pas glorifier l’acte posé par l’agresseur.

    Dans le cas d’un article rapportant les réactions des proches d’un homme ayant assassiné sa fille avant de se suicider, un titre comme « Il adorait sa petite puce » peut amener certaines personnes en détresse à croire que des circonstances rendent acceptable de tuer son enfant. Lors du Forum de discussion sur la couverture médiatique des homicides intrafamiliaux organisé par le CPQ, un intervenant auprès d’hommes violents a fait valoir que sa clientèle est « sensible aux messages véhiculés dans les médias. » Il précise que « des hommes vont acheter ce discours et se dire : “s’il m’arrive quelque chose avec ma conjointe, je vais emmener les enfants” ».4

  • Afin d’offrir une information complète, les médias sont encouragés à faire état des ressources disponibles pour les personnes vivant une situation de violence conjugale.

Dernière mise à jour : Octobre 2019

Références

  1. Léveillée, S., Tousignant, M., Laforest, J. et Maurice, P. 2015. La couverture médiatique des homicides intrafamiliaux. Mieux comprendre les effets sur la population. Rapport présenté au Conseil de presse du Québec.
  2. Conseil de presse du Québec. 2015. Guide de déontologie journalistique du Conseil de presse du Québec. [http://conseildepresse.qc.ca/guide/preambule/] (10 août 2015)
  3. Conseil de presse du Québec. 2003. Droits et responsabilités de la presse, Troisième édition.[http://conseildepresse.qc.ca/wp-content/uploads/2011/11/DERP.pdf] (2 juillet 2015)
  4. Conseil de presse du Québec. Rapport synthèse – Forum de discussion Couverture médiatique des homicides intrafamiliaux [http://conseildepresse.qc.ca/publications/rapports/forum-medias-et-homicides-intrafamiliaux] (2 juillet 2015)