Au Québec, la création d’un indice de défavorisation a initialement été motivée par l’absence de données socio-économiques dans les bases de données administratives. Ainsi, pour suivre l’évolution des inégalités sociales relatives à certains problèmes de santé, comme la mortalité, la morbidité hospitalière et l’utilisation des services de santé, le développement d’un proxy de type écologique s’est avéré nécessaire.