Il n’existe pas de vaccin ou de traitement préventif contre cette maladie. La prévention passe donc par une protection adéquate contre le moustique qui la transmet.
Étant donné l’endémicité de la bactérie dans les milieux tropicaux et subtropicaux, il est important de bien informer le voyageur des risques de leptospirose et des moyens de prévention.
Bien que le risque réel pour le voyageur soit généralement faible, le temps prolongé passé en eau douce lors des activités telles que le rafting, le canoë, le triathlon, la baignade, la descente en tube, etc. augmente particulièrement ce risque.
Le risque pour le voyageur est généralement faible. Les personnes qui se rendent dans les régions où la maladie de Lyme est endémique, en particulier les campeurs et les randonneurs, sont à plus haut risque d’être exposés et doivent appliquer des mesures de prévention strictes contre les piqûres de tique.
Actuellement, il n’y pas de vaccin disponible contre la maladie de Lyme pour les humains. Plusieurs vaccins sont en développement.
D’autres pathogènes (fièvres récurrentes, Anaplasma, Babesia, encéphalites virales, etc.) peuvent être transmis par les tiques et qu’une référence en infectiologie peut être recommandée si un patient est symptomatique suite à une piqûre de tique.
Le paludisme est une maladie grave, potentiellement mortelle. Il existe maintenant 5 espèces de parasites responsables du paludisme chez l’humain.
Pour tout séjour dans les régions du monde où l’eau n’est pas traitée selon les normes internationales et où les mesures hygiéniques et sanitaires sont déficientes, le voyageur doit être averti de ne consommer que des boissons « sécuritaires ».