Sécurité, prévention de la violence et des traumatismes
Ce champ d’expertise cherche à promouvoir des environnements et des comportements sécuritaires. Il cible des problèmes tels que la violence interpersonnelle et les traumatismes non intentionnels (sur le réseau routier, à domicile et dans les sports et loisirs). Il vise à soutenir les collectivités dans leurs efforts pour améliorer la sécurité de la population.
L’information présentée dans cette section permettra notamment d’actualiser le Programme national de santé publique 2015-2025 au regard du développement des enfants et des jeunes, ainsi que de la promotion de modes de vie et d’environnements sains et sécuritaires.
Nouvelles
L'Organisation mondiale de la santé a mis sur pied un registre des brûlures, le Global Burn Registry. Les données collectées auprès des victimes de brûlures permettront notamment de dresser un portrait des facteurs de risque et des populations les plus à risque et seront très utiles pour faciliter le choix des programmes de prévention.
Pour en savoir plus : http://www.who.int/violence_injury_prevention/burns/gbr/en/
Les mauvais traitements envers les enfants sont lourds de conséquences qui peuvent perdurer tout au long de la vie. Dans un aide-mémoire présentant l’ampleur du problème, les conséquences et les facteurs de risque qui y sont associés, l’Organisation mondiale de la santé fait état de différents types de programmes efficaces ou prometteurs pour prévenir les mauvais traitements envers les enfants.
Pour consulter cet aide-mémoire : http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs150/fr/
Un mémoire a été déposé à la Commission des transports et de l’environnement par l’INSPQ dans le cadre de la consultation sur le projet de loi 165 modifiant le Code de la sécurité routière. En plus d’appuyer différentes mesures qui y sont proposées, l’INSPQ suggère certaines bonifications notamment pour en étendre la portée et favoriser leur application ou leur efficacité. L’INSPQ recommande également d’ajouter à ce projet de loi une mesure qui abaisserait à 50 mg/100 ml la limite d'alcool permise dans le sang pour conduire un véhicule.
Vous pouvez consulter le mémoire et l’allocution devant la Commission à l’adresse suivante : https://www.inspq.qc.ca/nos-productions/videos/consultation-sur-le-proj…
