En janvier 2020, le monde scientifique est en alerte devant l’émergence d’un nouveau virus qui sera plus tard connu sous le nom de SRAS-CoV-2, responsable de la COVID-19. Dès mars, l’état d’urgence est déclaré un peu partout dans le monde. Et pour cause, le virus gagne du terrain et engendre une pandémie! Pour faire face à cette crise sans précédent, le Québec peut compter sur son Institut national de santé publique, un atout que peu de provinces canadiennes possèdent.
Cinq ans plus tard, l’Institut se remémore le branle-bas de cette menace collective dont l’ampleur s’observe encore. Ses équipes aguerries d’épidémiologistes en maladies infectieuses et les comités d’experts qu’il coordonne auront été à pied d’œuvre, dès le début. Ses travaux, menés en continu et abondamment cités, seront souvent déterminants pour bon nombre de décisions cruciales que prendra le gouvernement dans les semaines et les mois subséquents. L’Institut jouera alors pleinement son rôle, qui consiste à communiquer la science aux décideurs en présentant des avis, des recommandations et parfois des réserves, laissant au gouvernement le soin de prendre les décisions qui lui reviennent.
La lutte contre la COVID-19: un combat sur plusieurs fronts
Les expertises sont mises en commun
L’Institut fait parvenir la science aux décideurs
La réduction de la transmission est le nerf de la guerre
L’information sur l’évolution de la pandémie et du virus s’avère cruciale
La population est au cœur des préoccupations
Des chiffres qui en disent long
La parole aux experts
De la production à la diffusion des données
La technologie au service de l'efficacité en temps de COVID-19. Système d'information pour la protection en maladies infectieuses (SI-PMI)