L’INSPQ vient de publier un avis scientifique sur le traitement accéléré des partenaires (TAP). Le TAP consiste à remettre à une personne atteinte de Chlamydia trachomatis (CT) ou de Neisseiria gonorrhoeae (NG) une prescription de traitement dit épidémiologique, accompagnée d’information écrite. Les patients remettent le tout à leurs partenaires pour qu’ils soient traités sans nécessairement être vus par un médecin ou une infirmière.
Le lecteur trouvera dans cet avis scientifique une synthèse de la littérature abordant les thèmes suivants : efficacité, acceptabilité, barrières et inconvénients, implantation et promotion, enjeux éthiques et lignes directrices.
Le TAP ne semble pas être plus...