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  • 4 juin 2012

    Le traitement de la dépendance aux opioïdes (TDO)1 constitue l’une des mesures de réduction des méfaits les plus efficaces pour la diminution de la transmission des ITSS, de la morbidité et de la criminalité chez les usagers d’opioïdes comme l’héroïne, l’oxycodone (Dilaudid) et l’hydromorphone (OxyNEO).

    Voici trois ressources d’intérêt pour les professionnels désirant en apprendre plus sur cette pratique.

    La réalité démystifiée des usagers d’opioïdes

    La revue scientifique internationale Drogues, santé et société consacre son plus récent numéro à l’exploration de différentes facettes de la réalité des usagers d’opioïdes, et notamment du TDO, à travers des contributions en provenance du Québec, de la France, de la Belgique...

  • 2 mai 2012

    En 1993, Michel Dorais, professeur en sciences sociales à l’Université Laval écrivait : « Bien que l’homosexualité ne soit plus considérée par la médecine comme une maladie à combattre, il reste beaucoup à faire pour développer une compréhension accrue de ses manifestations. » Les choses ont-elles vraiment changé?

    La formation offerte par l’Institut national de santé publique du Québec a récemment été adaptée pour les infirmiers et infirmières en vue de les outiller à mener une consultation-santé tenant compte de la diversité des orientations sexuelles.

    Les histoires de cas proposées et le travail en sous-groupe permettent de mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité, particulièrement en ce qui a trait aux ITSS, en plus de déconstruire les principaux mythes...

  • 10 avril 2012

    L’expression « réduction des méfaits » a été adoptée par le Québec – et les traducteurs du Canada anglais – comme traduction du terme harm reduction, proposé par les Britanniques lors de l’apparition de l’approche et qui s’est imposé comme appellation de référence. Les Européens (France, Suisse, Belgique) utilisent quant à eux la traduction moins littérale de « réduction des risques ».

    Comment définir cette approche?

    La caractéristique centrale de l’approche de réduction des méfaits repose sur la réduction des conséquences négatives liées à l’usage des drogues plutôt que l’élimination du comportement d’usage lui-même.

    Il s’agit donc de politiques et de programmes d’intervention conçus pour protéger la santé des usagers de...

  • 31 janvier 2012

    En 2003, une étude réalisée dans les établissements de détention provinciaux du Québec a révélé que 3,4 % des personnes incarcérées seraient infectées par le VIH et 18,5 % par le VHC. Les personnes infectées sont principalement celles qui ont fait usage de drogues par injection avant ou pendant leur incarcération.

    Les détenus sont temporairement soustraits à un mode de vie désorganisé que plusieurs connaissent en dehors du centre de détention. Il s’agit donc d’un milieu propice pour mener des actions préventives et initier des traitements contre les ITSS qui ont, par ailleurs, des bénéfices pour la communauté lorsque les personnes incarcérées y reviennent.

    Le tout nouveau programme de formation d'une journée coordonné par l’Institut national de santé publique du Québec...

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