Veille analytique sur les produits de vapotage de cannabis, volume 1, numéro 1, mars 2025
Dans ce numéro :
Cette veille est destinée à la Direction des populations à risque et en contexte de vulnérabilité du MSSS et aux équipes du réseau de santé publique québécois. Les publications recensées sont choisies pour leur pertinence au regard de la réduction des risques et de la prévention des méfaits liés au vapotage des produits du cannabis.
Effets sur la santé
Association du vapotage de nicotine, de cannabis ou des deux avec des symptômes respiratoires chez les jeunes adultes américains : une étude transversale
Mise en contexte
Bien que des études aient montré que le vapotage de nicotine seule et de cannabis seul sont associés individuellement à des symptômes respiratoires, on sait peu de choses sur les méfaits du vapotage double (nicotine et cannabis).
Objectif
Cette étude vise à évaluer et à comparer l'association du vapotage de nicotine uniquement, du vapotage de cannabis uniquement et des deux substances avec des symptômes respiratoires.
Qu’est-ce qu’on y apprend?
L’étude est basée sur un échantillon national de 8 033 jeunes adultes états-uniens (âgés de 18 à 24 ans) interviewés en 2021 n’ayant jamais reçu de diagnostic d’affections pulmonaires ou respiratoires et. Des régressions logistiques multivariées ont été effectuées pour évaluer l’association entre les comportements de vapotage et la survenue des symptômes respiratoires au cours des 12 derniers mois. Parmi les 8 033 participants, 75,4 % ne vapotaient pas, 15,0 % vapotaient uniquement de la nicotine, 4,7 % vapotaient uniquement du cannabis et 4,9 % vapotaient à la fois de la nicotine et du cannabis. Les six symptômes respiratoires recherchés étaient : 1) respiration sifflante ou sifflement dans la poitrine ; 2) sommeil perturbé en raison d'une respiration sifflante ; 3) parole limitée en raison d'une respiration sifflante ; 4) respiration sifflante pendant ou après l'exercice ; 5) toux sèche la nuit non associée à un rhume ou à une infection pulmonaire; et 6) un score d'indice de symptômes respiratoires (de 0 à 9)
Comparativement aux personnes qui ne vapotaient pas, les personnes qui vapotaient uniquement de la nicotine, uniquement du cannabis ou encore les deux substances présentaient une prévalence significativement plus élevée des six symptômes respiratoires étudiés. Comparativement à l’absence de vapotage, le vapotage de nicotine uniquement et le vapotage de cannabis uniquement étaient associés à des risques plus élevés de respiration sifflante pendant ou après l’exercice et de toux sèche la nuit. En plus de ces deux symptômes, le vapotage double (de nicotine et de cannabis) était associé à des risques plus élevés de respiration sifflante ou sifflement dans la poitrine et à un score d’indice de symptômes respiratoires plus élevé.
Commentaires des rédactrices de la veille
Cette étude présente quelques limites. Premièrement, les données d’enquête autodéclarées pourraient être sujettes à un biais de réponse ; ensuite le devis transversal ne permet pas d’établir de lien de causalité. Toutefois, l’étude suggère que le vapotage double (de nicotine et de cannabis) serait associé à plus de symptômes respiratoires que le vapotage de nicotine uniquement ou de cannabis uniquement. Ces résultats sont similaires à ceux de Kasaraneni et al (2024) qui suggèrent un effet additif ou synergique du vapotage double. De futures recherches sur les mécanismes sous-jacents à ces symptômes respiratoires seraient utiles pour la compréhension de ces associations.
Sun, R., & Oates, G. R. (2024). Association of vaping with respiratory symptoms in U.S. young adults : Nicotine, cannabis, and dual vaping. Preventive Medicine, 189, 108175. https://doi.org/10.1016/j.ypmed.2024.108175
Le vapotage de CBD produit des effets néfastes sur les voies respiratoires chez l’animal : une étude expérimentale
Mise en contexte
Bien que la toxicité du CBD administré par voie orale ait été rapportée, on en sait peu sur les effets de son inhalation.
Objectif
Cette étude vise à mesurer la réponse biologique d’une exposition répétée à un aérosol de CBD avec du propylène glycol (PG)1 chez le rat à l’aide de certains indicateurs cliniques.
Qu’est-ce qu’on y apprend?
Soixante-cinq rats répartis en six groupes ont été exposés (par inhalation par le nez uniquement) pendant 14 jours consécutifs (entre 12 et 180 min/ jour) à des concentrations nominales de 1,0 et 1,3 mg/L de CBD et de PG, respectivement. Les doses d’exposition journalières étaient estimées entre 8,9 et 138,5 mg/kg de CBD. Les indicateurs de réponse biologique évalués comprenaient les signes cliniques, la chimie clinique, l'hématologie, le poids du corps et des organes, et l'histopathologie pulmonaire et systémique.
Quatre rats sur les dix ayant été exposés à la plus forte dose ont présenté des signes cliniques de détresse respiratoire et ont par la suite été retrouvés morts ou ont été euthanasiés alors qu’ils étaient moribonds. Les animaux restants ont survécu jusqu'à l'autopsie programmée et n'ont présenté aucune observation clinique persistante. Des changements significatifs dans le poids de certains organes ont été observés, ainsi que des effets dose-dépendants pour des lésions au niveau de l’épithélium des voies respiratoires.
Commentaires des rédactrices du bulletin
Cette étude implique l’industrie du cannabis et présente quelques limites. Tout d’abord, l’aérosolisation à froid employée dans l’étude prévient la formation de dérivés toxiques par dégradation thermique. Ensuite, en raison de la voie d’inhalation différente chez l’animal et l’humain (nasale contre orale), il est attendu que la fraction de CBD se déposant au niveau des poumons chez l’humain soit plus importante que chez le rat. Par ailleurs, cette étude a évalué des doses au moins 300 fois supérieures à celles estimées être consommées par les humains; ce qui est une pratique courante dans les études précliniques. En analyse de risque, la dérivation d'une dose d'exposition sécuritaire est normalement dérivée à partir de la dose sans effet nocif observé (NOAEL) chez l'animal à laquelle on applique des facteurs d'incertitudes pour tenir compte des différences entre les espèces, entre les individus, la durée de l'étude, etc. Cette étape ne semble pas avoir été appliquée dans l'interprétation de l'étude, mais une telle démarche aurait vraisemblablement ramené l'évaluation d'une dose acceptable pour l'humain à une valeur très similaire à celle ayant entrainé des effets chez le rat dans la présente étude. En définitive, bien que les effets néfastes n’aient été observés qu’au plus hautes doses d’exposition sur une courte durée (14 jours), il n’est pas exclu qu’une exposition à plus long terme et à des doses plus faibles puisse entrainer des effets néfastes similaires.
Schwotzer, D., Kulpa, J., Gigliotti, A., Dye, W., Trexler, K., Irshad, H., Lefever, T., Ware, M., Bonn-Miller, M., & McDonald, J. (2024). Biological Response after 14-Day Cannabidiol and Propylene Glycol Inhalation in Sprague-Dawley Rats. Cannabis and Cannabinoid Research. https://doi.org/10.1089/can.2023.0132
1 Diluant typiquement retrouvé dans les produits de vapotage de nicotine.
Comparaison des effets du vapotage de nicotine, de THC ou des deux sur la santé respiratoire.
Mise en contexte
Le vapotage de nicotine et de THC a augmenté de façon exponentielle ces dernières années, alors que l’on sait peu de choses de leurs effets sur la physiologie des voies respiratoires, la production de salive et l’inflammation des voies respiratoires supérieures et inférieures.
Objectif
Cette étude visait à vérifier certaines hypothèses, notamment si le vapotage (de nicotine, de THC ou des deux) augmente la sécrétion d’expectoration (secondaire à l’inflammation des voies respiratoires), augmente la production de salive, décroit le volume expiratoire forcé durant la 1ere seconde (VEF1)2, et augmente l’activation des voies inflammatoires (expression génique).
Qu’est-ce qu’on y apprend?
Quarante-six adultes âgés de 18 à 45 ans ont été recrutés aux États-Unis et soumis à des prélèvements (salive et expectoration) et des tests de spirométrie3. Ces adultes étaient repartis en quatre groupes : un groupe témoin (n=15 non-vapoteurs), un groupe de vapoteurs de nicotine (n=17), un groupe de vapoteurs de THC (n=3), et un groupe de vapoteurs double (n=11). Les explorations fonctionnelles et biologiques ont permis de vérifier les hypothèses d’étude.
Les résultats ont révélé que 26 gènes ont été régulés à la hausse dans les voies respiratoires chez les usagers de vapotage comparativement au groupe témoin. Il n’y avait pas de différence au niveau de la production d’expectoration ou de salive entre les quatre groupes. De même, le recrutement de cellules immunitaires était similaire entre les quatre groupes. Le groupe des vapoteurs double (nicotine et THC) ainsi que le groupe de vapoteurs de nicotine uniquement présentaient significativement plus d’indices d’obstruction des voies respiratoires à la spirométrie que le groupe témoin.
Commentaires des rédactrices du bulletin
Les résultats de cette étude ont été présentés dans le cadre d’un symposium et n’ont pas encore fait l’objet d’une publication d’article intégral dans une revue scientifique. Pour cette raison, seul le résumé est disponible pour le moment; ce qui explique le manque de précision sur le devis de recherche et sur les d’autres détails méthodologiques dans le présent bulletin. De plus, le faible nombre de participants vapotant uniquement du cannabis dans l’échantillon constitue une limite de cette étude.
Les auteurs de l’étude suggèrent néanmoins que le vapotage chronique altère l’expression génique dans les voies respiratoires supérieures et inférieures, et que le vapotage double (nicotine et THC) est associé à une plus grande résistance des voies respiratoires ; ce qui sous-entend un effet additif ou synergique. Ces constats sont en phase avec les résultats d’autres études similaires sur le vapotage de nicotine ou de cannabis (Lechasseur et al., 2024; Arlen et al., 2024).
Kasaraneni, N., Roy, D., Advani, I. N., Bhangoo, N., Chang, H., Retonel, G. S., Perera, S., McDermott, J., Perryman, A. N., Kumar, A. J., Lin, E., Seumois, G., Akuthota, P., & Crotty Alexander, L. E. (2024). Effects of Vaping of Nicotine and THC E-cigarettes on Gene Expression, Airway Resistance, and Saliva and Sputum Production. American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, 209. Embase. https://www.atsjournals.org/doi/abs/10.1164/ajrccm-conference.2024.209…
2Quantité d’air expulsée durant la première seconde d’une expiration rapide et forcée.
3Tests de contrôle de la fonction pulmonaire.
Risques liés à la composition des produits, aux dispositifs et au processus d’aérosolisation
Les liquides de vapotage à base de CBD et de CBG émettent des composées toxiques au cours du processus d’aérosolisation : une étude expérimentale
Mise en contexte
Le vapotage de cannabinoïdes gagne rapidement en popularité, en particulier chez les jeunes, bien que la chimie entourant la composition de l'aérosol de vapotage ne soit pas bien comprise.
Objectif
Cette étude examine la génération d'aérosol, d'hydroxyquinones et de carbonyles nocifs ou potentiellement nocifs provenant du vapotage de liquides composées de cannabinoïdes naturels (CBD, CBDA, CBG) et synthétiques (H2CBD, H4CBD) dilués dans un solvant à base de propylène glycol (PG) et de glycérine végétale (GV).
Qu’est-ce qu’on y apprend?
Cinq échantillons de liquides de vapotage contenant chacun l’un des cannabinoïdes à l’étude (CBD, CBDA, CBG, H2CBD, H4CBD) ont été préparés, à une concentration de 50 mg/mL dans un mélange de PG et GV. Ces échantillons de liquides ainsi qu’un échantillon témoin fait uniquement de PG et de GV ont été soumis au processus d’aérosolisation, puis les masses d’aérosol ainsi que les composées chimiques émis ont été mesurés et comparés.
Comparativement à l’échantillon temoin la présence de cannabinoïdes dans le liquide augmente significativement la formation d’aérosol et de carbonyles. L’échantillon de CBD a produit des concentrations particulièrement élevées de formaldéhyde, d'acétaldéhyde, d'acroléine, de diacétyle et de méthylglyoxal. Pour sa part, l’échantillon de CBG a produit des concentrations significativement plus élevées d'acétone, de méthacroléine et de méthylglyoxal que la moyenne des cinq échantillons. Le rendement en acétone du CBG est particulièrement plus élevé (4 à 6 fois plus) que celui de tout autre cannabinoïde dans cette étude. Seul le CBDA n’a pas entrainé la formation d’hydroxyquinones.
Commentaires des rédactrices du bulletin
Les résultats de cette étude devraient être considérés au regard de certaines limites. Tout d’abord, le dispositif de vapotage utilisé dans cette étude (Vaporesso XROS 2) est un dispositif rechargeable davantage destiné aux liquides de vapotage de nicotine. De plus, les liquides de vapotage de cannabis disponibles sur le marché contiennent habituellement des cannabinoïdes sous forme acide (du moins au début de l'utilisation de la cartouche); ce qui n'est pas le cas pour tous les cannabinoïdes examinés dans cette étude. La présence sous forme acide des cannabinoïdes dans les liquides de vapotage pourrait être associée à une production moindre de certains dérivés toxiques comme observé pour le CBDA dans la présente étude.
Les composés émis (carbonyls, aldéhydes, hydroxyquinones, etc.) au cours du processus d’aérosolisation à chaud sont nocifs pour la santé respiratoire, et certains sont cancérigènes. Les auteurs soulignent l’importance de mener des recherches plus poussées sur le profil d’émission toxique des cannabinoïdes contenus dans les liquides de vapotage et des ingrédients qui y sont contenus pour permettre une évaluation des risques plus approfondie. Ceci permettrait de mieux informer les consommateurs et les décideurs politiques sur les impacts sur la santé publique du vapotage de cannabis.
Robertson, N. E., Connolly, J., Shevchenko, N., Mascal, M., Pinkerton, K. E., Nicklisch, S. C. T., & Nguyen, T. B. (2024). Chemical Composition of Aerosols from the E-Cigarette Vaping of Natural and Synthetic Cannabinoids. Chemical Research in Toxicology, 37(12), 1965‑1975. https://doi.org/10.1021/acs.chemrestox.4c00326
Données d’usage
Facteurs influençant les habitudes de vapotage du cannabis chez les étudiants : une étude qualitative
Mise en contexte
Au cours des dernières décennies, la prévalence du vapotage du cannabis a augmenté chez les jeunes. Cela pourrait être dû au fait qu’il s’est répandu une idée fausse selon laquelle le vapotage n’est pas nocif. D'autres raisons qui motivent les jeunes à vapoter du cannabis incluent le goût, un meilleur high, le désir de suivre la tendance, l'influence sociale, la discrétion, la commodité et le coût relativement faible.
Objectif
Le but de cette étude était d'examiner les attitudes et les perceptions des étudiants qui influencent leur décision à vapoter du cannabis.
Qu’est-ce qu’on y apprend?
Vingt-et-un étudiants âgés de 18 à 25 ans qui ont fait usage des produits de vapotage du cannabis au cours des 30 derniers jours ont été recrutés aux États-Unis de mai à août 2020 via divers médias sociaux, et ont été soumis à des entretiens téléphoniques. Étant donné que la grande majorité des participants consommait à la fois du cannabis vapoté et du cannabis fumé, ceux-ci comparaient fréquemment ces deux modes de consommation. À travers une approche d’analyse thématique, leurs attitudes et perceptions concernant le vapotage du cannabis ont été recueillies et regroupées selon six thèmes principaux : 1) commodité, 2) discrétion, 3) expérience de modification de l'humeur, 4) acceptabilité sociale, 5) santé et sécurité, et 6) impact de la pandémie de COVID-19.
La commodité et la discrétion étaient les avantages les plus fréquemment mentionnés du vapotage comparativement au cannabis fumé. En effet, d’après la majorité des participants, le caractère portatif des dispositifs, la facilité d’utilisation, l’instantanéité de l’effet psychoactif et la capacité de contrôler la quantité de produit consommé rendent le vapotage de cannabis plus avantageux que le cannabis fumé. De plus, la faible odeur de l’aérosol rend le vapotage discret et dissimulable. Pour ce qui est de l’expérience de modification de l’humeur, les participants ont rapporté qu’elle différait selon le mode d’usage du cannabis.
En ce qui concerne la santé et la sécurité, bien que la majorité des participants (17) aient utilisé des descripteurs tels que « doux », « propre », « naturel » ou « holistique » pour parler des avantages du vapotage de cannabis, douze participants ont reconnu son potentiel addictif, et sept ont mentionné ses effets négatifs perçus sur la santé (paranoïa, perte de mémoire, psychose, cancer, lésions pulmonaires).
Commentaires des rédactrices du bulletin
Cette publication est sujette à quelques limites. La petite taille de l’échantillon et la prédominance de participants de sexe masculin limitent les conclusions possibles. L'obstacle le plus notable de cette étude réside probablement dans le fait que les consommateurs avaient tendance à vapoter et à fumer concomitamment du cannabis; il n'était donc pas possible de comparer les modes de consommation de cannabis isolément. Enfin, les résultats reposent sur des données auto-rapportées collectées grâce à des entrevues téléphoniques et qui pourraient être sujettes à des biais. Des recherches plus robustes devraient se poursuivre sur ce sujet.
McKenzie, N., Glassman, T. J., Dake, J. A., Maloney, S. M., & Na, L. (2024). Factors that influence cannabis vaping habits of college students: A qualitative study. Journal of American College Health, 72(8), 2856‑2863. https://doi.org/10.1080/07448481.2022.2135375
Autres publications d’intérêt
- Arlen, M. T., Patterson, S. J., Page, M. K., Liu, R., Caruana, V., Wilson, E. T., Laporte, S. A., Goniewicz, M. L., Harris, C. S., Eidelman, D. H., & Baglole, C. J. (2025). Cannabis vaping elicits transcriptomic and metabolomic changes in inflammatory, oxidative stress and cancer pathways in human bronchial epithelial cells. American Journal of Physiology. Lung Cellular and Molecular Physiology.
- Lechasseur, A., K. Godbout, M. Fortin, A. Cote, M. C. Morissette, Marie-Ève Boulay, Joanie Routhier, et al. « FUNCTIONAL RESPIRATORY ABNORMALITIES IN ADULTS WHO VAPE DAILY ». The preprint server for health sciences, 2024. 644439301. Embase.
Équipe de rédaction
Audrey Kamwa Ngne, conseillère scientifique, Unité Produits et substances psychoactives, Direction du développement des individus et des communautés
Axelle Marchand, conseillère scientifique, Direction de la santé environnementale, au travail et de la toxicologie, Unité Évaluation et soutien à la gestion des risques
Avec la collaboration de :
Johanne Laguë, médecin-conseil, adjointe à la programmation scientifique et à la qualité, Direction du développement des individus et des communautés
Sous la coordination de :
Olivier Bellefleur, chef d’unité scientifique, Unité Produits et substances psychoactives, Direction du développement des individus et des communautés
Révision linguistique :
Direction du développement des individus et des communautés
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Cette veille est réalisée grâce à la participation financière du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS).