Transfert des connaissances

 Bulletin d'information en santé environnementale

  • 16 novembre 2017

    Cet article porte sur les principaux résultats de l’évaluation réalisée au cours de l’année 2017 auprès du public cible du BISE. Le contexte de l’évaluation, la méthodologie utilisée, les principaux constats et les améliorations envisagées sont décrits. Les résultats du sondage montrent que le BISE demeure un outil de référence crédible pour son public cible et occupe une place enviable et reconnue dans le domaine de la santé environnementale.

  • 19 septembre 2014

    Les 4 et 5 décembre prochain se tiendra, au Centre des congrès de Québec, le 6e Symposium d’Ouranos. Les derniers développements d’Ouranos y seront présentés, tant au niveau de la recherche que des applications en sciences du climat et en impacts, vulnérabilités et adaptation aux changements climatiques. La programmation 2014-2019 d’Ouranos fera également l’objet de sessions spéciales.

    Le nombre de places étant limité, il est primordial de s’inscrire tôt. L’inscription au symposium est gratuite, mais les diners seront payants (15$ avec reçus).

    Nous vous rappelons que la date limite pour soumettre un résumé d’affiches (250 mots) est le 30 septembre 2014. Bien vouloir transmettre votre...

  • 9 février 2011

    Ce numéro thématique du Bulletin d’information en santé environnementale (BISE) dédié à la question du transfert des connaissances en santé environnementale est le résultat d’une collaboration de plus d’un an entre les équipes québécoise de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et française de l’Institut national de prévention et d’Éducation pour la santé (INPES) dans le cadre de 62e Commission permanente franco-québécoise sur le transfert des connaissances. L’initiative a été soutenue au Québec par le ministère des Relations internationales et en France par le ministère des Affaires étrangères.

    Partant du constat qu’au sein de nos organisations respectives, et plus généralement en santé...

  • 9 février 2011

    De par sa nature, la santé environnementale implique une diversité d’acteurs provenant de disciplines et de secteurs d’activités différents. Les décideurs, la population, les professionnels de santé environnementale et de santé publique, les partenaires des secteurs des transports, de l’éducation, des affaires municipales sont autant de groupes que l’on peut vouloir rejoindre. Qu’il s’agisse de les informer, les sensibiliser, les former, les impliquer ou les amener à collaborer entre eux, on vise au final à leur partager des connaissances. Comment s’y prendre pour s’assurer que ces connaissances soient utilisées par les groupes visés? Et comment aider...

  • 9 février 2011

     Hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), pesticides, plomb dans l’eau potable, risques industriels, pollution atmosphérique, communication du risque, décontamination du mercure, voici quelques-uns des thèmes qui ont été traités depuis près de 20 ans lors de rencontres périodiques d’acteurs du domaine de la santé environnementale, mieux connues sous le nom des « Ateliers de santé environnementale » (ASE).

    Ce court texte dresse dans un...

  • 9 février 2011

    Si la qualité de l’air extérieur est en France relativement médiatisée, celle de l’air intérieur reste un problème de santé publique encore peu connu du grand public mais dont les médias se sont récemment saisis. Pourtant, on estime que la population passe 70 % à 90 % de son temps dans des environnements clos (transports, logements, lieux de travail…). Le temps passé en intérieur peut être plus élevé à certains âges de la vie (nourrissons, enfants, personnes âgées) ou dans certaines situations (maladie notamment). L’enjeu de santé publique n’est donc pas anodin, d’autant que de récentes études menées par l’Observatoire de la...

  • 9 février 2011

    Dans un contexte d’un projet de recherche, la transmission de résultats aux participants est une étape qui est trop souvent malmenée par les chercheurs. Pourtant, cette étape est importante, complexe et mérite qu’on s’y attarde.

    La démarche décrite dans cet article concerne justement la transmission de résultats individuels à des familles qui participent à un projet de recherche sur la qualité de l’air intérieur et l’asthme chez les enfants : le projet IVAIRE. Cette étude vise à évaluer les Impacts de la Ventilation sur la qualité de l’Air Intérieur des habitations et la santé Respiratoire des Enfants qui souffrent de...

  • 9 février 2011

    L’incidence du cancer de la peau augmente de façon épidémique dans le monde. Le mélanome, la forme la plus dangereuse de cancer cutané (avec probablement près de 150 000 cas par an dans le monde), est une des premières causes de mortalité par cancer chez les jeunes adultes. Outre la clarté de la peau, les principaux facteurs de risque de mélanome sont les expositions au soleil intermittentes et les coups de soleil de l’enfance.

    Il existe d’autres formes de cancer de la peau : le carcinome spino-cellulaire et le carcinome baso-cellulaire. Ce dernier, certes moins dangereux car moins métastasique, représente d’importantes...

  • 9 février 2011

    Dans le Programme national de santé publique, on aborde l’action intersectorielle comme une stratégie indispensable pour améliorer la santé et le bien-être, notamment au regard de la promotion de la santé et de la prévention de nombreux problèmes qui requièrent l’engagement et la participation des acteurs de plusieurs secteurs d’activités (MSSS, 2008).

    En octobre 2005, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) confiait à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) le mandat de mettre en place un Comité intersectoriel sur la prévention des cancers de la peau. La définition de l’intersectorialité sur...

  • 9 février 2011

    Depuis le début des années 1980, de nombreux scientifiques, experts en communication scientifique ou sociologues se sont penchés sur la question de la communication scientifique et ont analysé les obstacles à la diffusion des connaissances scientifiques. Ces obstacles sont aussi bien de nature structurelle que culturelle : un langage et des supports de publications très spécialisés, une difficulté à adapter la communication scientifique à des cibles variées, un manque de liaison pour faciliter les échanges entre les milieux scientifiques et les autres acteurs de la société.

    À la différence des organismes de recherche, les...

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