Écrit faisant état de l’évolution des données de surveillance microbiologique et épidémiologique produit dans le but d’informer aussi bien la population que les intervenants et décideurs de santé publique.
Le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a mis de l’avant, en janvier 2003, un programme de surveillance des infections envahissantes à Staphylococcus aureus suite à une demande du Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ).
Ce nouveau programme vise à documenter de façon continue les prévalences provinciales et régionales de ces infections incluant celle des souches résistantes à la méthicilline. Cette…
Le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) / Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) débutait en novembre 1995 la surveillance active des souches de Streptococcus pneumoniae isolées de sites normalement stériles avec la collaboration de tous les centres hospitaliers du Québec susceptibles d'isoler du pneumocoque de ces sites.
De plus, plusieurs centres hospitaliers ont été identifiés comme centres sentinelles (n = 24 en 2002). Leur collaboration se traduit par l'…
Le nombre de cas de gonorrhée répertoriés en 2002 sest élevé à 809, correspondant à une incidence annuelle de 10,9 cas/100 000 habitants soit une légère diminution par rapport à lincidence de 11,2 observée en 2001. La figure 1 illustre lincidence en fonction de la région socio-sanitaire (RSS) de lhôpital déclarant et non de la RSS du patient. On remarque une incidence plus élevée (26,8 cas/100 000 habitants) dans la région de Montréal-Centre où la majorité des cas sont répertoriés (489…
En février 1999, le sous-comité de surveillance et des laboratoires de l’Association des médecins microbiologistes et infectiologues du Québec (AMMIQ), issu du Groupe de travail sur les antimicrobiens (GRAM), recommandait à tous les laboratoires hospitaliers de participer, sur une base volontaire, à la surveillance épidémiologique des isolats d’entérocoques résistants à la vancomycine (ERV) et d’acheminer toutes ces souches au Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) de l’Institut…
Le Laboratoire de santé publique du Québec collige tous les résultats des épreuves de sensibilité auxquelles ont été soumis les isolats de bacilles tuberculeux pendant l'année civile afin de suivre l'évolution de la résistance aux antituberculeux au Québec.
Les tableaux reflètent notre surveillance de laboratoire des nouvelles souches de Mycobacterium tuberculosis, M. bovis, M. caprae et M. africanum. Ils présentent, pour l'ensemble de la province…
Le Laboratoire de santé publique collige tous les résultats des épreuves de sensibilité auxquelles ont été soumis les nouveaux isolats de bacilles tuberculeux pendant l'année civile, afin de suivre l'évolution de la résistance aux antituberculeux au Québec. Il présente, dans ce rapport, les résultats 2002 de la surveillance de laboratoire des nouvelles souches de M. tuberculosis et M. bovis en 2002 pour l'ensemble de la province et selon les 18 régions administratives.
Dans le cadre d'un programme de contrôle interne de la qualité en microbiologie, l'eau de laboratoire utilisée pour diverses activités doit satisfaire certaines spécifications. À cette fin, le Comité d'assurance qualité en microbiologie du Laboratoire de santé publique du Québec présente ce document d'information décrivant les lignes directrices à respecter en ce qui concerne la qualité de l'eau en laboratoire.
L’eau est le réactif le plus utilisé dans les laboratoires cliniques.…
Le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) offre aux établissements du réseau de la santé des programmes de surveillance de laboratoire ciblant, entre autres, les infections causées par le méningocoque, le pneumocoque, la salmonelle, le streptocoque β-hémolytiques du groupe A, Escherichia coli O157:H7, Haemophilus influenzae et Listeria monocytogenes, ainsi que la tuberculose, la gonorrhée, la grippe et autres infections respiratoires virales, la maladie de Lyme et le VIH, le tout en…
L’émergence de souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méthicilline, à l’oxacilline et à la nafcilline (SARM) a été observée au début des années 60. Le phénomène est apparu en premier en Europe pour s’étendre rapidement à travers le monde. Tel que mentionné dans le document « Mesures de contrôle et prévention des infections à Staphylococcus aureus résistantes à la méthicilline au Québec », les infections à SARM semblent s’être disséminées rapidement à travers les…