Écrit faisant état de l’évolution des données de surveillance microbiologique et épidémiologique produit dans le but d’informer aussi bien la population que les intervenants et décideurs de santé publique.
Une vigie des situations d’éclosion dans les milieux de travail, autres que ceux de soins aigus et d’hébergement de longue durée, de garde et scolaires (ci-après, désignée par vigie-SAT), a été réalisée entre juin 2020 et décembre 2021.
La prévalence et l’incidence ajustées pour l’âge des troubles neurocognitifs majeurs, incluant la maladie d’Alzheimer et les autres troubles neurocognitifs majeurs, au Québec, restent relativement stables de 2000 à 2019. Cependant, du fait du vieillissement de la population, le nombre absolu de personnes ayant reçu un diagnostic de trouble neurocognitif majeur a triplé entre 2000 et 2019.
Le 13 janvier 2023, les autorités sanitaires américaines annonçaient avoir détecté une augmentation potentielle du risque d’accident vasculaire cérébral ischémique (AVCi) chez les personnes de 65 ans et plus ayant reçu une dose de rappel avec le vaccin bivalent ComirnatyMD (BNT-162b2, Pfizer/BioNTech)1. Ce signal de sécurité avait été identifié par le Vaccine Safety Datalink (VSD), un système de surveillance des effets indésirables de la vaccination regroupant les données clinico‑administratives de plusieurs organismes de soins de santé intégrés.
L’Institut national de santé publique du Québec est le centre d’expertise et de référence en matière de santé publique au Québec. Sa mission est de soutenir le ministre de la Santé et des Services sociaux (MSSS) du Québec, les autorités régionales de santé publique, ainsi que les établissements locaux, régionaux et nationaux dans l’exercice de leurs fonctions et responsabilités. La collection Surveillance et vigie rassemble sous une même bannière une variété de productions scientifiques visant la caractérisation de la santé de la population et de ses déterminants, ainsi que l’analyse des menaces et des risques à la santé et au bien-être.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a été mandaté par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour réaliser la surveillance provinciale des infections nosocomiales dans les centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) du Québec. Pour soutenir cette surveillance, l’INSPQ s’appuie sur son Comité de Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN) ainsi que les sept sous-comités de surveillance, un pour chacun des programmes de surveillance.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a été mandaté par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour réaliser la surveillance provinciale des infections nosocomiales dans les centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) du Québec. Pour soutenir cette surveillance, l’INSPQ s’appuie sur son Comité de Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN) ainsi que les sept sous-comités de surveillance, un pour chacun des programmes de surveillance.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a été mandaté par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour réaliser la surveillance provinciale des infections nosocomiales dans les centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) du Québec. Pour soutenir cette surveillance, l’INSPQ s’appuie sur son Comité de Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN) ainsi que les sept sous-comités de surveillance, un pour chacun des programmes de surveillance.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a été mandaté par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour réaliser la surveillance provinciale des infections nosocomiales dans les centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) du Québec. Pour soutenir cette surveillance, l’INSPQ s’appuie sur son Comité de Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN) ainsi que les sept sous-comités de surveillance, un pour chacun des programmes de surveillance.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a été mandaté par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) pour réaliser la surveillance provinciale des infections nosocomiales dans les centres hospitaliers de soins généraux et spécialisés (CHSGS) du Québec. Pour soutenir cette surveillance, l’INSPQ s’appuie sur son Comité de Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN) ainsi que les sept sous-comités de surveillance, un pour chacun des programmes de surveillance.