L’exposition à risque à un primate non humain se fait, dans la majorité des cas, par le biais de morsures. Les morsures de primates non humains semblent plus sérieuses et plus sujettes à l’infection que celles des autres animaux exotiques (Goldstein, 1992). Malgré l’administration prophylactique d’antibiotiques, une morsure de singe est souvent cause d’infection bactérienne et de complications (Goldstein et collab., 1995).