Infection transmissible sexuellement et par le sang

Le dépistage du VIH dans les points de service à l'aide de trousses de dépistage rapide

Les trousses de dépistage rapide du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) sont des analyses de biologie délocalisées (ADBD) et leur utilisation au Québec est assujettie à plusieurs lois. Ces trousses peuvent être utilisées dans les points de service, c'est-à-dire dans tous les lieux « hors laboratoire » où il y a offre de services de santé et de dépistage du VIH, dans les secteurs publics ou privés1. Les trousses de dépistage rapide peuvent servir à…

Avis scientifique

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : cas cumulatifs 2002-2010

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Le LSPQ effectue toutes les analyses de confirmation à l'échelle de la province. Pour tout test…

Rapport de surveillance

Surveillance des souches de Neisseria gonorrhoeae résistantes aux antibiotiques dans la province de Québec : rapport 2010

Le nombre de cas d'infections à Neisseria gonorrhoeae augmente de façon importante depuis quelques années. La surveillance de laboratoire des infections à N. gonorrhoeae permet de suivre l'évolution du nombre de cas confirmés, de l'utilisation des différentes méthodes diagnostiques utilisées dans le réseau des laboratoires du Québec et de la résistance aux antibiotiques. Le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) a initié en 1988, en collaboration avec le réseau des laboratoires…

Rapport de surveillance

Surveillance des maladies infectieuses chez les utilisateurs de drogue par injection – Épidémiologie du VIH de 1995 à 2009 - Épidémiologie du VHC de 2003 à 2009

Les infections par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et par le virus de l'hépatite C (VHC) chez les utilisateurs de drogues par injection représentent un important enjeu de santé publique au Québec.

Les données les plus récentes du réseau SurvUDI indiquent que la cocaïne demeure la drogue injectée par la plus grande proportion des participants, suivie par le Dilaudid, l'héroïne, la morphine, l'oxycodone et le crack/freebase. L'injection de certains opioïdes (…

Rapport de surveillance

Statistiques sur les services relatifs aux programmes de prévention du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et des hépatites B et C auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection au Québec : avril 2008 à mars 2010

Mis en place au Québec à la fin des années 1980, le réseau des centres d’accès au matériel d’injection stérile (CAMI) est un regroupement d’organismes communautaires spécialisés dans la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS), particulièrement le VIH et les hépatites B et C, auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI) ou avec des clientèles et des vocations multiples, d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux…

Rapport de surveillance

Analyse des cas déclarés d'infection génitale à Chlamydia trachomatis, d'infection gonococcique et de syphilis au Québec par année civile : 1994-2009 (et données préliminaires 2010)

Au Québec, 18 119 cas d'infection génitale à Chlamydia trachomatis, d'infection gonococcique et de syphilis infectieuse ont été déclarés en 2009, soit près de 1 100 cas de plus qu'en 2008.

Aucun cas de granulome inguinal ni de chancre mou n'a été déclaré en 2009. Le nombre de cas déclarés de lymphogranulomatose vénérienne (LGV) est passé de 25 cas en 2005 à 44 cas en 2006. Une diminution a ensuite été observée avec 10 cas déclarés en 2007,…

Rapport de surveillance

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : mise à jour des données au 30 juin 2010

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Les activités de collecte des données sont centralisées dans des locaux sécurisés du LSPQ. Ce…

Rapport de surveillance

Évaluation du risque de transmission et d'une exposition significative au plomb associé à la transfusion de sang

L'Institut national de santé publique du Québec a reçu à l'automne 2003 le mandat d'évaluer pour Héma-Québec le risque d'une exposition au plomb lié à la transfusion de sang.

La base des préoccupations soulevées par les gestionnaires d'Héma-Québec faisait suite à la parution d'un article publié en 2003 dans la revue scientifique The Lancet. Selon les auteurs de cet article, le contenu en plomb des poches de sang destinées à la clientèle des enfants nés prématurément ne…

Rapport de recherche, d’étude ou d’analyse

Avis du Comité sur l'immunisation du Québec sur la vaccination des femmes de 18 ans et plus contre les virus du papillome humain (VPH)

En octobre 2007, le Comité sur l'immunisation du Québec (CIQ) a publié le document Prévention par la vaccination des maladies attribuables aux virus du papillome humain au Québec. Ces recommandations sont rappelées à l'annexe A.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a acheminé une demande au CIQ, afin d'évaluer la pertinence d'élargir l'accès à la vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH) aux personnes âgées de 18 ans et…

Avis scientifique

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : cas cumulatifs 2002-2009

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif. Les activités de collecte des données sont centralisées dans des locaux sécurisés du LSPQ. Celui-ci…

Rapport de surveillance