La combinaison d’une adhésion forte de la population aux mesures, de l’accélération de la vaccination avec la 3e dose du dépistage et de l’isolement pourraient ralentir la transmission d’Omicron. Or, selon les récentes projections de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et du Groupe de recherche en modélisation mathématique et en économie de la santé liée aux maladies infectieuses de l'Université Laval, on ne peut pas exclure un dépassement des capacités hospitalières même si ces conditions sont réunies, étant donné l’incertitude concernant la sévérité d’Omicron.