Le traitement médiatique des tueries de masse constitue un processus délicat, mais nécessaire pour toutes citoyennes et citoyens ayant droit à une information de qualité. Toutefois, force est de reconnaître que la ligne est mince entre le partage de l'information et la médiatisation détaillée, répétée et continue de ces homicides. En effet, les études démontrent que cette médiatisation peut occasionner, entre autres, des conséquences négatives pour la santé des individus et des communautés, y compris celle des journalistes affectés à la couverture de ce genre de nouvelles.