Considérant le nombre de plus en plus élevé de personnes immunodéprimées dans la population (en raison de la disponibilité grandissante de thérapies immunodépressives), la complexité, les risques et la lourdeur entourant l’administration des IgIV, telle que décrite dans l’avis du CIQ et expérimentée dans certaines régions, le CIQ est-il d’accord pour restreindre l’administration des IgIV aux personnes immunodéprimées répondant aux critères de sévérité définis par l’ACIP, en post-exposition…