L’augmentation constante de la résistance de la gonorrhée aux antibiotiques ajoute une pression sur le système de santé, depuis la prévention jusqu’au traitement, en passant par le dépistage. En 2014, à la suite d’une diminution du recours à la culture, ce qui a eu comme conséquence de limiter le suivi de la résistance, une réflexion a eu lieu à propos de la mise en place d’un Réseau sentinelle. Une meilleure connaissance des caractéristiques épidémiologiques des cas infectés par des souches…