Veille scientifique en promotion de la santé mentale et prévention des troubles mentaux et du suicide, printemps 2025

Voici le bulletin du printemps 2025 de la veille scientifique de l’Institut national de santé publique du Québec présentant les plus récents articles scientifiques sur la promotion de la santé mentale, la prévention des troubles mentaux et la prévention du suicide. 

Effet des politiques publiques sur la santé mentale de la population : l’exemple de la réforme de l’aide sociale au Royaume-Uni

Contexte

Les conditions sociales et économiques et la santé mentale des personnes sont interreliées. Par exemple, les personnes souffrant de troubles mentaux sont plus susceptibles d’avoir un emploi et un logement précaires; de même, les personnes confrontées à des difficultés financières ou de logement présentent un risque plus élevé de troubles mentaux, par rapport à celles qui en vivent peu. Des changements dans les politiques publiques qui modifient les conditions sociales et économiques peuvent avoir des impacts sur le bien-être de ces personnes. C’est pourquoi il faut veiller à ce que ces changements visent à atténuer des disparités existantes plutôt que les augmenter.

Au Royaume-Uni, les années 2010 ont été marquées par une importante réforme de l’aide sociale. Cette réforme, connue sous le nom du Crédit universel (Universal Credit) consistait à ce qu’un seul soutien financier remplace désormais six différents programmes de soutien (p. ex. : crédit d’impôt pour enfant, allocation pour le logement, aide au revenu, etc.). Alors que la réforme visait à faciliter l’accès au soutien financier de l’État, elle a été entachée de controverses, notamment dues à des retards de paiement et à des réductions des montants reçus ou encore à l’absence de soutien pour des personnes s’attendant à en recevoir.

Objectif et méthode 

L’étude examine l’effet de la réforme du Crédit universel au Royaume-Uni sur la détresse psychologique de la population par des analyses de séries chronologiques interrompues. Ce type d’analyse permet de comparer des séries d’observations sur une période, avant et après un moment spécifique, comme l’implantation d’une nouvelle politique : ici, l’implantation du Crédit universel. Les données annuelles de 2009 à 2021 d’Understanding Society (UKHLS), une enquête longitudinale représentative de la population du Royaume-Uni, ont été utilisées pour analyser l’évolution de la détresse psychologique (mesurée avec l’outil GHQ-12) en fonction du moment de la mise en œuvre de la réforme et de la région de résidence, chez le groupe exposé (sans-emploi, susceptible de recevoir le Crédit universel) et le groupe non exposé (occupant un emploi).

Ce que l’on y apprend

Les données d’UKHLS de 47 555 individus suivis de 2009 à 2021 ont été utilisées. L’âge moyen des personnes participantes était de 40 ans, 54 % étaient des femmes, 27 % étaient d’origine ethnique non blanche et 15 % ont été sans emploi à un moment au cours de la période à l’étude. Au départ et tout au long de la période de l’étude, le groupe exposé présentait un niveau de détresse psychologique plus élevé que le groupe non exposé. Les résultats montrent ensuite que les moments de mise en œuvre de la réforme ont été suivis d’une augmentation immédiate du niveau de détresse psychologique chez les individus sans emploi, comparativement aux autres qui avaient un emploi. Cette différence entre les deux groupes ne s’est toutefois pas maintenue dans le temps, indiquant que l’effet de la réforme sur la détresse psychologique n’a pas perduré.

Certains groupes ont présenté un niveau de détresse psychologique plus important tout au long de la période à l’étude, par exemple les adultes de 44 à 55 ans (c. 16-26 ans), les femmes et les personnes avec un niveau de scolarité plus faible. Les résultats concernant l’appartenance (ou l’origine) ethnique suggèrent que tous les groupes, à l’exception des groupes d’origine ethnique mixte, avaient un niveau plus bas de détresse psychologique comparativement à la population blanche. Enfin, les analyses de variations spatiales montrent quant à elles que le niveau moyen de détresse psychologique a augmenté de façon plus marquée à la suite de la mise en œuvre de la réforme dans les régions avec une plus grande défavorisation. 

Conclusion

Fort d’une méthode d’analyse robuste tenant compte des variations spatiales et temporelles, les analyses présentées dans cette étude offrent des informations précieuses sur les effets de la réforme du Crédit universel au Royaume-Uni, de même que sur les groupes qui ont pu être davantage affectés par les changements apportés par cette réforme. Malgré certaines limites liées à la définition des variables d’exposition, la méthode d’analyse utilisée dans cette étude pourrait être réutilisée pour évaluer les impacts sur la santé mentale d’autres politiques publiques. Cette connaissance pourrait permettre de prévenir de potentiels impacts négatifs sur la santé mentale d’individus qui, dans certaines conditions sociales et économiques, seraient plus à risque de vivre de la détresse psychologique lorsque des changements sont apportés à des programmes de soutien financier.

Gascoigne, C., Jeffery, A., Shao, Z., Geneletti, S., Kirkbride, J. B., Baio, G., & Blangiardo, M. (2024). A Bayesian Interrupted Time Series framework for evaluating policy change on mental well-being : An application to England’s welfare reform. Spatial and Spatio-Temporal Epidemiology, 50 : 100662. 


Perspectives des hommes sur la relation entre les masculinités et la suicidalité : une synthèse thématique

Contexte

À l’échelle mondiale, le taux de suicide (standardisé selon l’âge) en 2019 était estimé être 2,3 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes. L’influence des masculinités — c’est-à-dire ce qu’être un homme ou un garçon signifie, tant au niveau individuel que culturel — pourrait expliquer en partie cet écart. Cependant, la littérature scientifique sur la suicidalité des hommes reste incomplète : d’une part, les liens entre masculinités et suicidalité (pensées, idéations, tentatives de suicide ou décès par suicide)a n’ont pas été suffisamment étudiés, et, d’autre part, le rôle potentiellement protecteur des masculinités demeure encore peu documenté.

Objectifs et méthode

Afin de combler ces lacunes, cette revue de type métasynthèse vise à explorer, chez des hommes (16 ans et plus) qui ont déjà eu des pensées/idéations suicidaires ou fait une tentative de suicide, la manière dont les masculinités ont pu 1) contribuer à la suicidalité vécue personnellement, 2) inhiber leur recherche d’aide et/ou 3) les protéger contre leurs pensées, idéations et/ou tentatives de suicide.

Vingt-cinq articles en anglais contenant des données qualitatives ont été recensés, représentant 1 282 hommes âgés de 16 à 76 ans. Les études ont été menées principalement dans des pays occidentaux ou ayant une histoire de colonisation européenne.

Qu’est-ce qu’on y apprend?

Les résultats suggèrent des rôles multiformes des masculinités. Tout d’abord, les participants ont associé l’incapacité à atteindre une position sociale enviable (p. ex. : avoir un emploi socialement valorisé) et un statut de pourvoyeur à l’expérience de pensées et de comportements suicidaires. Selon eux, ces attentes doivent être remplies afin que la vie soit jugée digne d’être vécue. Ces mêmes attentes peuvent aussi jouer un rôle protecteur contre les comportements suicidaires, car le passage à l’acte peut être perçu comme un échec à subvenir aux besoins des proches.

Ensuite, l’adhésion à la norme de contrôle émotionnelle et d’autonomie est perçue comme un moyen de se présenter comme « fort », ce qui entrave l’expression de la détresse et la recherche d’aide. Toutefois, le fait de se confier à des femmes permettait aux hommes d’exprimer leur détresse tout en maintenant une « image masculine forte » au sein de leurs amitiés avec d’autres hommes. Cela dit, certains hommes ont décrit la demande d’aide comme pouvant être en adéquation avec les idéaux masculins de rationalité et d’affirmation de soi, la considérant même comme un acte courageux (et donc masculin). Ainsi, certains témoignages ont mis en lumière des aspects positifs des amitiés masculines, comme le soutien entre pairs, où la gestion de la détresse émotionnelle peut devenir un projet collectif. Enfin, la participation à des activités en groupe orientées vers l’action (p. ex. : sport, jeu électronique, projet collectif) peut servir de prétexte à la recherche d’aide. 

Enfin, le suicide est parfois perçu par les hommes comme courageux, une manière de « prendre le contrôle » de leur vie et de leur détresse, ce qui contribue au risque de passage à l’acte. Cependant, certains hommes conçoivent le suicide plutôt comme un acte de « lâcheté », une fuite « peu virile », en contradiction avec les attentes associées au contrôle de leurs émotions lorsqu’ils affrontent des difficultés.

Conclusion

Cette revue comporte deux limites principales. Tout d’abord, le contexte géographique limité des études recensées ne permet pas de généraliser les résultats à l’ensemble des hommes. Ensuite, en raison du manque de données concernant d’autres dimensions de l’identité, telles que la classe sociale, la culture et l’orientation sexuelle, la revue ne permet pas de tirer de conclusions sur l’influence d’autres facteurs intersectionnels sur les masculinités et la suicidalité.

Cela dit, cette revue fournit des pistes importantes pour mieux saisir à la fois les conséquences néfastes des masculinités ainsi que ses effets protecteurs sur la suicidalité. Des implications pour la prévention du suicide sont également mentionnées, telles que : cibler certains groupes plus à risque, comme les personnes en situation de chômage et celles qui ont perdu un statut social antérieur, repenser les campagnes de prévention du suicide en tenant compte des masculinités de manière nuancée, mettre de l’avant les interventions communautaires visant à réduire l’isolement social et offrir des espaces de discussion sécurisés entre hommes. 

a NDLR : Le terme « suicidalité » est ici préféré à « comportements suicidaires » pour traduire « suicidality ». En effet, « comportements suicidaires » est parfois utilisé dans un sens large incluant les pensées (p. ex. : ne plus vouloir exister) et l’idéation (p. ex. : imaginer des scénarios), mais il est apparu plus pertinent, ici, de conserver le choix des auteur(e)s de l’article.

Joyce, E., Pratt, D., et Lea, J. (2024). Men’s perspectives on the relationship between masculinities and suicidality : A thematic synthesisPsychology of Men & Masculinities, 25(3), 221‑239. 


Vivre seul : étude de l’association avec les comportements suicidaires

Contexte

Dans les dernières décennies, on observe une augmentation du nombre de personnes qui vivent seules, et ce, dans la plupart des pays développés. Le fait de résider seul est associé à une augmentation du risque de vivre de l’isolement social et de rapporter un sentiment de solitude, ce qui peut affecter la santé mentale. En parallèle, des études sur le risque suicidaire indiquent que la composition du ménage et un faible soutien social pourraient représenter des facteurs de risque des comportements suicidaires (idées suicidaires, tentatives de suicide ou décès par suicide). 

Objectif et méthode

L’objectif de cette revue systématique avec méta-analyse est d’identifier l’association prospective entre le fait de vivre seul et les comportements suicidaires (tentatives de suicide et décès par suicide) observés chez les adultes de 16 ans et plus et de quantifier la force de cette association. Pour ce faire, les auteurs ont procédé à une revue systématique d’études sur le sujet publiées dans les revues scientifiques entre 2000 et 2023. Neuf études prospectives ont été identifiées et intégrées à la méta-analyse. Celle-ci visait à évaluer l’association entre le fait de vivre seul et les comportements suicidaires. De plus, les auteurs ont calculé la prévalence de personnes vivant seules à partir des échantillons des études repérées. La majorité des études repérées provient de pays européens. La moitié des études portent sur la population générale (n = 4), l’autre moitié (n = 4) porte sur des individus ayant reçu un diagnostic de troubles mentaux et une étude porte sur des individus ayant subi un accident vasculaire cérébral (AVC). 

Ce que l’on y apprend

Les résultats de la méta-analyse indiquent que, parmi l’ensemble des études repérées, un peu moins du tiers des individus interrogés rapportent vivre seul (32 %; IC à 95 % : 19–44 %). Globalement, les personnes vivant seules présentent un risque significativement accru de 45 % (rapport de risque ajusté [RRA] de 1,45; IC à 95 % : 1,13–1,77) de faire une tentative de suicide comparativement aux personnes ne vivant pas seules, et ce, en contrôlant pour différentes variables confondantes (c.-à-d. : variables sociodémographiques, durée du suivi et localisation géographique de l’étude). Ce risque accru est de 27 % (RRA de 1,27; IC à 95 % 1.06–1,48) lorsque seuls les résultats concernant les décès par suicide sont pris en considération dans la méta-analyse. 

Des analyses supplémentaires indiquent que les hommes vivant seuls sont significativement plus susceptibles de décéder par suicide que les hommes ne vivant pas seuls. De plus, il est à noter que le risque chez les femmes est significativement plus bas que chez les hommes. L’augmentation du risque de décès par suicide chez les personnes vivant seules est détectée uniquement chez les individus vivant en Europe. Enfin, un risque accru de décès par suicide chez les personnes vivant seules est observé uniquement dans les échantillons portant sur la population générale. Aucune différence statistiquement significative n’est observée dans les études portant sur un échantillon d’individus ayant un diagnostic de trouble mental. 

Conclusion

Les résultats mettent de l’avant la prévalence importante de personnes habitant seules et l’association prospective entre le fait de vivre seul et une augmentation du risque de tentatives de suicide et de décès par suicide dans le temps, et ce, particulièrement chez les hommes. Ces résultats doivent toutefois être nuancés par le fait qu’une forte hétérogénéité a été observée pour les différents résultats de la méta-analyse. Cette divergence entraîne des estimations du risque très imprécises. Il apparaît ainsi pertinent de poursuivre la recherche quant à l’influence de la composition du ménage sur le risque suicidaire et réfléchir à des interventions et des politiques sociales visant à assurer un soutien social pour les gens plus à risques de vivre de l’isolement et de la solitude. 

Luo, Z., Wang, J., Chen, X., Cheng, D. et Zhou, Y. (2024). Assessment of the relationship between living alone and suicidal behaviors based on prospective studies: a systematic review and meta-analysisFrontiers in Public Health, 12, 1444820. 


Déterminants commerciaux de la santé mentale : revue des interventions populationnelles 

Contexte

Dans les dernières années, les déterminants commerciaux de la santé (DCS) ont fait l’objet d’un intérêt accru de la part des chercheurs en santé publique afin de mieux comprendre leur rôle dans l’évolution de la santé et des inégalités sociales de santé. Les déterminants commerciaux peuvent être définis comme « l’ensemble des systèmes, des pratiques et des voies par lesquels les acteurs commerciaux influencent la santé et l’équité ». Plusieurs travaux concernant les DCS ont d’abord porté sur l’influence de l’industrie dans la consommation de produits néfastes pour la santé tels que le tabac, l’alcool ainsi que des aliments ultra-transformés. De récents travaux ont mis en évidence l’influence de certaines de ces industries sur la santé mentale et les inégalités de santé mentale observées dans la population. Bien que l’association entre les DCS et la santé mentale soit reconnue, les interventions visant à améliorer la santé mentale ne les prennent peu ou pas en considération. 

Objectif et méthode

L’objectif de cette synthèse est de recenser les interventions visant les DCS, et d’examiner leurs effets sur la santé mentale et les inégalités de santé mentale. Pour ce faire, une revue des revues systématiques publiées entre 2011 et 2022 a été effectuée. Les revues incluses à l’analyse devaient porter sur des interventions populationnelles visant à modifier les DCS et devaient rapporter des effets mesurés sur la santé mentale des populations, spécifiquement les troubles anxieux et dépressifs, l’automutilation et les comportements suicidaires, ainsi que sur les inégalités de santé mentale. Six industries susceptibles d’influencer l’état de santé mentale ont été ciblées, soit : l’industrie de l’alcool, du tabac, des jeux de hasard et d’argent, des médias sociaux, des aliments ultra-transformés et des pesticides. Les différentes revues retenues ont fait l’objet d’une analyse approfondie du risque de biais ainsi que du risque de conflits d’intérêts. Les résultats ont été résumés de façon narrative. 

Ce que l’on y apprend

La stratégie de recherche a permis d’identifier 162 revues publiées entre 2011 et 2022 parmi lesquelles seules 8 revues rapportent des résultats spécifiques à la santé mentale. Les autres revues incluses à l’analyse ont identifié des indicateurs secondaires à l’objectif poursuivi (p. ex. : la consommation du produit ou les ventes associées au produit). 

Parmi les interventions repérées, celles portant sur l’industrie de l’alcool sont les plus diversifiées (p. ex. : augmentation de l’âge légal de consommation d’alcool, la limitation des heures d’ouverture ainsi que la réduction de la densité des magasins vendant de l’alcool). Les interventions sur le tabac portent majoritairement sur la désignation d’endroits sans fumée, sur le prix et l’ajout d’avertissements de santé sur les paquets. Concernant les jeux de hasard et d’argent, les interventions sont principalement axées sur la modification du produit (p. ex. : avertissements pendant le jeu) et on constate très peu d’interventions sur le marketing ou la réduction de l’abordabilité des produits. Les interventions ciblant les aliments ultra-transformés portent sur la redéfinition du produit (product redesign), les taxes (p. ex. : sur les boissons sucrées) ou l’étiquetage des produits. Peu d’interventions visent les pesticides et celles-ci portent sur la restriction de la vente et l’interdiction complète de certains produits. Enfin, aucune intervention ne porte sur les médias sociaux. 

Quant aux effets des interventions ciblant les DCS sur la santé mentale, les mesures rapportées ne portent exclusivement que sur les comportements suicidaires et ne se rapportent qu’aux industries de l’alcool et des pesticides. Concernant l’effet des interventions en lien avec l’alcool, les interventions repérées réduisent la plupart du temps les comportements suicidaires observés à l’échelle populationnelle. Aussi, les résultats indiquent que la prohibition totale de l’alcool est une intervention inefficace comparativement à la mise en place de restrictions partielles. À l’inverse, les résultats portant sur l’industrie des pesticides concluent que les interdictions complètes de pesticides s’avèrent plus efficaces que les restrictions de vente partielles pour prévenir les décès par suicide. 

Conclusion

Les résultats de cette revue des revues permettent de cartographier les connaissances et d’identifier les limites associées à celles-ci. Entre autres, on constate que l’association entre la santé mentale, les troubles anxieux et dépressifs spécifiquement, et les déterminants commerciaux a fait l’objet de peu de publications. Cette faiblesse relative met de l’avant l’importance de poursuivre la recherche sur le sujet et pourrait en ce sens représenter un levier pour s’intéresser à l’influence de certaines industries (p. ex. : alcool) sur la santé de la population. Ultimement, ces résultats illustrent la complexité associée à la prise en compte des DCS dans le développement d’interventions populationnelles et mettent de l’avant la pertinence de se pencher sur le développement d’actions et d’évaluation de qualité visant à améliorer l’état de santé mentale des populations. 

Tompson, A., Alkasaby, M., Choudhury, T., Dun-Campbell, K., Hartwell, G., Körner, K., Maani, N., van Schalkwyk, M. C. I. et Petticrew, M. (2024). Addressing the commercial determinants of mental health: an umbrella review of population-level interventionsHealth Promotion International, 39(6), daae147. 

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Rédaction 

Caroline Braën-Boucher, conseillère scientifique 
Yan Ferguson, conseiller scientifique
Félix Lebrun-Paré, conseiller scientifique
Andréane Melançon, conseillère scientifique spécialisée
Marie-Claude Roberge, conseillère scientifique et coordonnatrice professionnelle de l’équipe Écrans/Santé mentale/Suicide
Unité santé et bien-être des populations
Direction du développement des individus et des communautés 

Révision

Julie Laforest, cheffe d’unité scientifique
Unité santé et bien-être des populations
Direction du développement des individus et des communautés

Révision linguistique

Marie-Cloé Lépine, agente administrative
Direction du développement des individus et des communautés

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L’inclusion des articles présentés dans ce bulletin de veille ne signifie pas leur endossement par l’Institut. Le jugement professionnel demeure essentiel pour évaluer la valeur de ces articles pour votre pratique. Vous pouvez également consulter la méthodologie de cette veille scientifique.

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