Faits saillants
Au Québec, comme ailleurs dans le monde, les autorités de santé publique suivent la progression de la pratique d’activité physique à partir des données d’enquêtes. L’activité physique est un déterminant de la santé, du...
Au Québec, comme ailleurs dans le monde, les autorités de santé publique suivent la progression de la pratique d’activité physique à partir des données d’enquêtes. L’activité physique est un déterminant de la santé, du...
L’analyse des résultats obtenus dans le cadre du programme de surveillance en laboratoire des entérobactéries résistantes aux carbapénèmes a permis de dégager les éléments suivants :
Le programme québécois de surveillance des manifestations cliniques inhabituelles (MCI) survenant après l’immunisation (programme ESPRI) vise à recueillir les déclarations des professionnels de la santé sur les manifestations cliniques signalées après l’administration des produits immunisants. Ce rapport présente les données obtenues en 2018, qui sont comparées avec celles de la période 2013-2017. Les données proviennent de l’Infocentre de l’Institut national de santé publique du Québec, et la plupart des taux ont été calculés pour les groupes visés par les vaccins recommandés au calendrier de vaccination québécois en fonction des estimations de couverture vaccinale.
En 2018, parmi les 771 MCI survenues après l’administration d’un vaccin, 635 (82 %) ont été retenues pour l’...
Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a déposé le Plan de surveillance des anomalies congénitales au Québec (PSACQ) pour examen auprès du Comité d’éthique de santé publique (CESP). En plus de couvrir les anomalies congénitales, ce plan couvre l’ensemble des troubles causés par l’alcoolisation foetale ainsi que les erreurs innées du métabolisme. Les principaux objectifs de la surveillance des anomalies congénitales identifiés dans le plan de surveillance soumis sont de produire des estimations populationnelles fiables de leur prévalence, d’identifier les déterminants pour soutenir la politique et les programmes de prévention, d’optimiser la gestion des prestations de services, de réduire leur apparition, de même que la morbidité et la mortalité associées.
L’...
Au Québec, l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) fait l’objet d’une collecte de données épidémiologiques à des fins de surveillance continue de l’état de santé de la population depuis avril 2002.
Ce rapport décrit principalement les caractéristiques des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) nouvellement diagnostiquées en 2018, ainsi que la tendance des nouveaux diagnostics de la maladie depuis 2009.
Au total, 671 cas d’infections par le VIH sont rapportés pour l’année 2018. Ce nombre comprend 311 nouveaux diagnostics, 353 anciens diagnostics* et 7 cas non classés dans l’une ou l’autre de ces catégories.
Les trois quarts (75,9 %) des nouveaux diagnostics sont enregistrés chez les hommes.
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Ce portait portrait s’inscrit dans le cadre du Programme national de santé publique. Il fait état de la situation épidémiologique de l’infection à Chlamydia trachomatis, de l’infection gonococcique, de la syphilis, de la lymphogranulomatose vénérienne, de l’hépatite B, de l’hépatite C et de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).
Plus d’une centaine d’arbovirus ayant le potentiel d’infecter les humains a été identifiée à l’échelle internationale. Les autorités de santé publique doivent donc cibler les arbovirus causant des infections les plus à risque de complications afin de déterminer lesquels devraient faire l’objet d’une surveillance. Au Québec, tout comme ailleurs en Amérique du Nord, les infections cliniques les plus fréquentes et les plus à risque de complication sont associées au virus du Nil occidental (VNO), suivies de celles liées aux virus du sérogroupe Californie. La province effectue également un « monitorage entomologique » les principales espèces de moustiques qui véhiculent des arbovirus exotiques tels que les virus du Chikungunya, du Zika et de la Dengue.
Le ministère de la Santé et...
Depuis 1988, le Laboratoire de santé publique du Québec, en collaboration avec le réseau des laboratoires du Québec et le Ministère de la Santé et des Services sociaux, maintient un programme de surveillance des infections gonococciques. L’analyse des données du programme permet d'établir un portrait de l’antibiorésistance chez les souches isolées au Québec avec une emphase sur les résultats obtenus au cours de l'année 2018, particulièrement en ce qui a trait aux données de sensibilité réduite aux céphalosporines de troisième génération (...