Une soixantaine de termes forment le nouveau Vocabulaire de la toxicologie clinique

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et l’Office québécois de la langue française (OQLF) présentent une soixantaine de nouveaux termes dans le Vocabulaire de la toxicologie clinique.

Si vous présumez que l’adultération concerne les relations conjugales, qu’un bézoard est un rare type de batracien ou si la notion d’effet nocébo vous intrigue, vous en apprendrez beaucoup avec le Vocabulaire de la toxicologie clinique. Ce nouveau volet vient enrichir le Vocabulaire de la toxicologie lancé il y a un an maintenant.

Peu après lapublication de la première série d’une centaine de termes au printemps 2024 dans le Vocabulaire de la toxicologie, les équipes de l’INSPQ et de l’OQLF ont décidé de poursuivre leur travail. Les deux organisations ont bien saisi l’occasion qui leur était offerte de franciser un domaine où l’anglais souvent prédomine. Les scientifiques de l’Institut souhaitent en particulier démocratiser ce vocabulaire et rendre plus usuels certains termes considérés comme plus techniques.

Accessible à l’ensemble de la population, le Vocabulaire de la toxicologie clinique s’avérera indispensable non seulement pour les spécialistes du domaine, mais aussi pour quiconque traitant de sujets qui s’y rapportent. Les créateurs des lexiques ont prêté une attention particulière à la vulgarisation des concepts abordés.

Les équipes en toxicologie de l’INSPQ, une expertise précieuse et unique

Les scientifiques de l’Institut national de santé publique du Québec collaborent avec plusieurs ressources de santé publique en matière de toxicologie clinique, notamment avec le Centre antipoison du Québec, pour prévenir toute sorte d’intoxications. On peut avoir un aperçu des travaux de l’INSPQ en la matière ici et ici.

16 avril 2025