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Alors que des cas de variole simienne ont récemment été confirmés au Québec, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) mobilise ses diverses expertises afin de produire des connaissances scientifiques pour soutenir le réseau de la santé face à cette éclosion. Celles-ci seront rassemblées sur une page Web Variole simienne, au fur et à mesure de leur publication.

Le 17 mai est une date symbolique; le 17 mai 1990, l’homosexualité a été retirée de la liste des maladies mentales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Depuis une vingtaine d’années, la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie est ainsi soulignée le 17 mai. Cette journée met de l’avant les crimes, violences, discriminations et inégalités qui persistent à l’endroit des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, trans, queer, bispirituelles (LGBTQ2+) à travers le monde, et nous rappelle que des actions sont possibles pour contrer cette réalité. Cette année, la thématique choisie au Québec pour souligner cette journée est « La montre de 54 secondes », cherchant à montrer que « la violence physique, psychologique, sexuelle, médicale et institutionnelle réduit l’espérance de vie de personnes LGBTQ2+ ».

Les enjeux éthiques liés à la santé vous passionnent? Le Comité d’éthique de santé publique (CESP) recrute trois nouvelles personnes pour contribuer à la réalisation de ses travaux.

Les profils recherchés sont :

• Éthicienne ou éthicien avec expérience, pour assumer la présidence du Comité d’éthique de santé publique.
• Membre de la population avec intérêt pour le mandat du comité et n’ayant pas de lien d’emploi direct avec le réseau de la santé ou l’avoir quitté depuis au moins deux ans.
• Avocate ou avocat avec connaissances reconnues en droit de la santé et n’ayant pas de lien d’emploi direct avec le réseau de la santé ou l’avoir quitté depuis au moins deux ans.

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) est fier de soutenir la diffusion de la nouvelle série Ma ville aux rayons X, sur les ondes de Savoir média. Les experts en santé environnementale de l’INSPQ ont contribué à développer les contenus de cette émission, qui aborde les conséquences souvent méconnues de notre milieu de vie sur la santé physique et mentale. Elle présente aussi des solutions concrètes d'aménagement du territoire qui favorisent de saines habitudes de vie.

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) évalue que la prévalence de la sous-lignée BA.2 du variant Omicron est d’environ 83 % au Québec, selon les dernières données de séquençage. Ce portrait est similaire au Canada et dans le monde, où la sous-lignée BA.2 représente actuellement la forme dominante du virus responsable de la COVID-19.

À l’occasion du Jour de la Terre, Maxime Boivin, conseillère scientifique à l’INSPQ décortique le phénomène de l’écoanxiété et présente des pistes pour juguler nos angoisses liées à la menace des changements climatiques.

L’INSPQ collabore à la 24e Conférence mondiale de l’UIPES en promotion de la santé. Elle se déroulera en mode virtuel du 15 au 19 mai 2022, sur le thème « Promouvoir des politiques pour la santé, le bien-être et l’équité ». Cet événement d’envergure représente une opportunité unique pour le milieu de la santé publique d’échanger et de faire évoluer l’état des connaissances mondiales.

Un outil Web pour la protection de la santé mentale du personnel du réseau de la santé et des services sociaux en temps de pandémie

L’OMS nous rappelle, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, que notre santé et celle de la planète sont interconnectées. Nos décisions collectives sont à l’origine de la pollution de l’air, de l’eau et des sols. De plus, la crise climatique menace d’accélérer la détérioration de notre environnement et d’engendrer des impacts importants sur la santé des populations. À l’instar de la pandémie de Covid-19, cette autre crise sanitaire offre l’occasion de repenser nos communautés et de faire des gains de santé considérables.

Dans le contexte où les voyageurs et voyageuses reprennent leurs activités en force après deux ans de pandémie, le personnel professionnel de la santé appelé à pratiquer la santé-voyage peut désormais suivre le module de formation en santé-voyage nouvellement mis à jour.