Sexually transmitted and blood-borne infections

  • October-03-11

    Le nombre de cas d'infections à Neisseria gonorrhoeae augmente de façon importante depuis quelques années. La surveillance de laboratoire des infections à N. gonorrhoeae permet de suivre l'évolution du nombre de cas confirmés, de l'utilisation des différentes méthodes diagnostiques utilisées dans le réseau des laboratoires du Québec et de la résistance aux antibiotiques. Le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) a initié en 1988, en collaboration avec le réseau des laboratoires du Québec, un programme de surveillance des gonococcies. Les objectifs du programme sont d'étudier l'évolution de l'infection et de son diagnostic de laboratoire d'une part et du profil de sensibilité aux antibiotiques des souches d'autre part.

    En 2010, des analyses de sensibilité à...

  • September-28-11

    Les infections par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et par le virus de l'hépatite C (VHC) chez les utilisateurs de drogues par injection représentent un important enjeu de santé publique au Québec.

    Les données les plus récentes du réseau SurvUDI indiquent que la cocaïne demeure la drogue injectée par la plus grande proportion des participants, suivie par le Dilaudid, l'héroïne, la morphine, l'oxycodone et le crack/freebase. L'injection de certains opioïdes (Dilaudid, oxycodone) a augmenté de façon importante, de même que la consommation de crack/freebase non injecté.

    Après une diminution observée entre 1995 et 2002, le taux d'incidence du VIH ne baisse plus. Le taux d'incidence du VHC, quant à lui, a augmenté de façon significative entre...

  • August-11-11

    Mis en place au Québec à la fin des années 1980, le réseau des centres d’accès au matériel d’injection stérile (CAMI) est un regroupement d’organismes communautaires spécialisés dans la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS), particulièrement le VIH et les hépatites B et C, auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI) ou avec des clientèles et des vocations multiples, d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux ainsi que de pharmacies. Les CAMI sont des lieux où les personnes UDI peuvent se rendre pour obtenir du matériel d’injection stérile1, remettre des seringues usagées et obtenir des conseils de prévention ainsi que des services psychosociaux et de santé dans certains cas.

    Afin de contribuer à la...

  • June-28-11

    Au Québec, 18 119 cas d'infection génitale à Chlamydia trachomatis, d'infection gonococcique et de syphilis infectieuse ont été déclarés en 2009, soit près de 1 100 cas de plus qu'en 2008.

    Aucun cas de granulome inguinal ni de chancre mou n'a été déclaré en 2009. Le nombre de cas déclarés de lymphogranulomatose vénérienne (LGV) est passé de 25 cas en 2005 à 44 cas en 2006. Une diminution a ensuite été observée avec 10 cas déclarés en 2007, 9 en 2008 et 3 en 2009. Les données préliminaires indiquent que 5 cas auraient été déclarés en 2010.

    Infection génitale à Chlamydia trachomatis

    Avec 15 864 cas déclarés, cette infection compte pour 49,7 % des 31 919 cas de MADO déclarés en 2009.

    Des cas ont été déclarés dans chacune...

  • April-12-11

    Since 2000, the resurgence of syphilis in Québec has led to increased screening and resulted in a greater number of reported cases, particularly in the Montréal area. To meet the growing demand for laboratory testing, some medical diagnostic laboratories have introduced an enzyme immunoassay (EIA) test into their syphilis detection algorithm. This situation raised concerns among general practitioners, microbiologists and infectious disease specialists with regards to the interpretation of screening results and the diagnosis and confirmation of syphilis infections.

    In response to these concerns, the Comité sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang (CITSS) of the Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) established the Sous-comité Épreuves de...

  • August-16-10

    Le nombre d'infections à Neisseria gonorrhoeae, comme celui de certaines autres infections sexuellement transmissibles, augmente depuis quelques années. Le contrôle des gonococcies constitue une priorité en santé publique, puisqu'elles sont une cause importante de maladies inflammatoires pelviennes dont les conséquences potentielles sont l'infertilité et les grossesses ectopiques.

    La surveillance de laboratoire des infections à N. gonorrhoeae permet de suivre l'évolution des cas confirmés, l'utilisation des nouvelles méthodes diagnostiques et la résistance aux antibiotiques. Instauré en 1988 par le Laboratoire de santé publique du Québec, le programme de surveillance des gonococcies repose sur le réseau des laboratoires hospitaliers du Québec. Les objectifs du...

  • May-20-10

    Nous évaluons dans le présent rapport l'ampleur du problème des infections génitales à Chlamydia trachomatis, des infections gonococciques et des syphilis au Québec. L'analyse de la distribution des cas aide à orienter les interventions et à planifier les ressources pour lutter contre le problème.

    Nous nous adressons ici aux responsables régionaux de la lutte contre les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS), particulièrement à ceux qui oeuvrent en santé publique. Nous espérons aussi être utiles à leurs partenaires communautaires et institutionnels.

    Au Québec, 17 020 cas d'infection génitale à Chlamydia trachomatis, d'infection gonococcique et de syphilis infectieuse ont été déclarés en 2008.

    Les cas de granulome inguinal...

  • May-19-10

    Given that certain questions have been raised regarding the results of studies on the effects of SISs, the Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) has taken the initiative of carrying out a critical analysis of these studies.

    The objective of this report is to evaluate the relevance of establishing supervised injection sites in the province of Québec. It is based on a critical analysis of the scientific research carried out to date on the effects of SISs and on a review of the literature on the related ethical and legal issues as well as on acceptability and operational factors related to such sites.

  • January-22-10

    Le sous-comité Épreuves de détection de la syphilis est un groupe de travail relevant du Comité sur les infections transmissibles sexuellement et par le sang (CITSS) de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Il s'agit d'un sous-comité ad hoc qui sera dissout une fois son mandat complété.

    Le mandat du sous-comité Épreuves de détection de la syphilis consiste à formuler des recommandations concernant les épreuves de détection de la syphilis.

    Les objectifs du sous-comité Épreuves de détection de la syphilis sont les suivants :

    • produire une revue de littérature sur les outils de diagnostic de la syphilis incluant les différentes épreuves sérologiques, les tests rapides et les épreuves de détection de la syphilis sur le liquide céphalorachidien...
  • January-08-10

    Au 30 juin 2008, 19 911 questionnaires avaient été administrés à 11 240 individus (tableau 1).

    Les trois quarts sont des hommes (8 256/10 931). L'âge moyen chez les hommes est de 34 ans. L'âge moyen des femmes est de 29 ans (tableau 1).

    Les UDI recrutés sont moyennement scolarisés, un sur deux (1 926/3 942) n'ayant pas terminé son cours secondaire (tableau 3; données 2003-2008).

    La cocaïne est la drogue dont l'injection est la plus répandue (86 % des 3 953 répondants en avaient fait usage); le dilaudid suit avec 35 %. On retrouve ensuite l'héroïne (blanche ou beige/brune) avec 28 % (tableau 5; données 2003-2008). La cocaïne est aussi la drogue la plus souvent injectée par 65 % (2 551/3 932) des participants; les drogues opiacées non prescrites suivent avec 28...

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