Les données actuellement disponibles sur l’impact sanitaire des particules fines (particules dont le diamètre est égal ou inférieur à 2,5 µm, ou PM2.5) démontrent que les taux de mortalité et d’hospitalisation pour problèmes respiratoires sont plus élevés lors de pics de pollution de courtes durées (d'un ou de plusieurs jours). D’autres études montrent aussi que sur une longue période, les…