Les personnes issues de milieux favorisés ont une espérance de vie en bonne santé plus élevée que celles des milieux défavorisés. Cette différence se chiffre à 10 ans chez les hommes et 8 ans chez les femmes.
En s’attaquant aux inégalités sociales liées à la défavorisation matérielle et sociale, on pourrait assister à une diminution de 55 % de l’insécurité alimentaire dans les ménages québécois.