Une étude menée par l’INSPQ sur les travailleurs de la santé du Québec infectés par la COVID-19 durant les premières vagues pandémiques, généralement avant le début de la campagne de vaccination, révèle que les symptômes persistent souvent plusieurs semaines après l’infection chez un fort pourcentage des participants.

Les assouplissements graduels des mesures sanitaires jusqu’au 14 mars 2022 ne devraient pas causer de recrudescence importante des cas et des hospitalisations dans le Grand Montréal, en comparaison avec le pic de janvier 2022.

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) dévoile les résultats préliminaires d’une étude portant sur l’efficacité de deux ou trois doses de vaccins contre la COVID-19 face au variant Omicron.

En contexte de transmission élevée du SRAS-CoV-2, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) publie deux documents pour soutenir les intervenants dans l’évaluation des conditions qui peuvent influencer la décision de considérer ou non le port d’un appareil de protection respiratoire (APR) de type N95 pour les travailleurs en dehors des milieux de soins.

L’analyse menant au choix du port d’un appareil de type N95 ou d’un masque médical devrait être faite suite à une évaluation des facteurs de risque en présence dans un milieu de travail spécifique. L’outil d’aide à la décision concernant le N95 pour les travailleurs hors milieux de soins permet d’évaluer rapidement les circonstances de travail où il pourrait être préférable d’utiliser un N95 pour les travailleurs.