Des mesures de prévention et de protection efficaces contre la variole simienne

Alors que des cas de variole simienne ont récemment été confirmés au Québec, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) mobilise ses diverses expertises afin de soutenir le réseau de la santé face à cette éclosion. Celles-ci seront rassemblées sur une page Web Variole simienne, au fur et à mesure de leur publication.

Entre humains, le virus causant la variole simienne, aussi appelée variole du singe ou monkeypox en anglais, se transmet principalement par contacts rapprochés et prolongés, par les gouttelettes émises lors d’interactions, en l’absence de port d’équipement de protection individuelle. Il peut également se transmettre, dans une moindre mesure, par des objets et surfaces contaminés.

Une vaccination ciblée

Le Comité d’immunisation du Québec (CIQ) a émis de recommandations pour l’administration du vaccin Invamune, autorisé par Santé Canada en 2020, à certaines personnes suite à une exposition à un cas confirmé ou probable de variole simienne. Ces recommandations intérimaires seront ajustées en fonction des recommandations du Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) et lorsque le portrait épidémiologique de la variole simienne sera plus clair.

Pour en savoir plus

26 mai 2022