Santé des communautés linguistiques

La langue d’expression est un déterminant de la santé de plus en plus considéré dans la planification sociosanitaire. Il est connu que les groupes en situation minoritaire sont souvent plus vulnérables que le groupe majoritaire. Au Québec, ce sont plus d’un million de personnes qui sont en situation de minorité linguistique, c’est-à-dire des personnes dont la langue d’expression est l’anglais (anglophones) ou ni le français ni l’anglais (allophones).  Cette réalité est présente autant dans la grande région de Montréal qu’ailleurs dans la province.

Depuis 2010, en partenariat avec le Réseau communautaire des services sociaux et de santé (RCSSS) et le ministère de la Santé et des Services sociaux, l’Institut mène une série de projets dans le but d’améliorer la connaissance sur la santé des communautés linguistiques. Ces travaux, disponibles en français et en anglais, ont pour but de :

  • Faire connaître l’état de santé de la minorité linguistique du Québec;
  • Analyser et évaluer l’adaptation des services de santé et services sociaux destinés aux anglophones;
  • Contribuer au développement et à la vitalité des communautés anglophones du Québec. 

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