Personnes utilisatrices de drogues

13 mai 2016

Crystal meth et réalités à surveiller

Les amphétamines et les méthamphétamines font partie de la même classe, mais les méthamphétamines sont deux fois plus puissantes. Le crystal meth est la déclinaison la plus pure de méthamphétamine sous forme de cristaux, de capsules, de comprimés ou de poudre.

Sur le cerveau, le crystal meth à trois effets. Cette drogue vient interférer au niveau de la sérotonine, de la dopamine et de la noradrénaline. Les impacts de cette drogue seront donc en lien avec le désir sexuel, le plaisir et la prise du risque.

12 mai 2016

Drogues, buzz et ITSS

Données québécoises sur la consommation de drogues 

Le Portrait de l’environnement au Québec, fait par le Centre québécois de lutte aux dépendances, avance que les 15 à 24 ans sont les plus grands consommateurs de drogues. Le document indique aussi que le cannabis est la substance illégale la plus consommée, particulièrement chez les hommes. Si l’alcool est inclus, celui-ci surpasse la consommation de cannabis.
18 novembre 2015

Matériel d’injection : réduire les risques chez les injecteurs de médicaments opioïdes

Le risque de transmission d’infection au virus d’immunodéficience humaine (VIH) et au virus de l’hépatite C (VHC) associé à l’usage de drogues par injection (UDI) est encore bien présent. Au Québec, 15 % des personnes UDI qui fréquentent les centres d’accès au matériel d’injection sont infectées par le VIH et 63 % d’entre elles ont des anticorps au VHC. La distribution de matériel stérile d’injection dans plus de 1000 centres d’accès au matériel d’injection répartis dans 16 régions sociosanitaires du Québec vise à prévenir la transmission de ces infections.

2 septembre 2015

Projet PRO-FAN – Prévention et réduction des surdoses

Déjà des résultats positifs!

Le projet PRO-FAN vise à former des personnes qui sont près des usagers de drogues à administrer la naloxone. L’administration de la naloxone par des travailleurs de proximité, des pairs, des membres de leur famille ou de leur entourage, lorsqu’une personne est en situation de surdose d’opioïde, peut en renverser les effets, dont la détresse respiratoire et l’arrêt cardiovasculaire.

11 juin 2015

Personnes utilisatrices de drogues par injection et VHC : excellente TACTIC à Québec

Depuis 1990, près de 40 000 cas d’hépatite C (VHC) ont été déclarés au Québec, dont 1 166 en 2013. Le taux d’incidence est en régression, mais de nombreuses personnes infectées ignorent leur état. Qui plus est, les personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI) sont particulièrement à risque d’infection à cause, bien entendu, du partage de matériel d’injection. Et seulement 10 % de tous les cas de VHC seraient traités. On estime également que 60 à 70 % des nouveaux cas sont liés à la consommation de drogues par injection.

18 mai 2015

Injection d’opioïdes médicamenteux et incidence de l’hépatite C

Karine Blouin vous propose son article d'intérêt

The rising prevalence of prescription opioid injection and its association with hepatitis C incidence among street-drug users.
La prévalence d’injection d’opioïdes médicamenteux en augmentation et son association avec l’incidence de l’hépatite C chez des usagers de drogues [Traduction libre]        
Julie Bruneau, Élise Roy, Nelson Arruda, Geng Zang et Didier Jutras-Aswad  |  Paru en janvier 2012

25 février 2015

Le projet PROFAN

La région de Montréal a connu, à l’été 2014, un dramatique épisode de surdoses mortelles chez les personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI). Ces décès ont engendré plusieurs initiatives de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, dont l’accélération du projet PROFAN initié par le groupe Méta d’Âme qui s’est associé, pour l’occasion, à des partenaires, notamment le Centre de recherche et d’aide pour narcomanes (CRAN).

6 novembre 2014

Centres d'accès au matériel d'injection : 2,25 millions de seringues pour contrer les infections

Du mois d’avril 2015 au mois de mars 2016, les directions de santé publique ont distribué plus 2 600 000 seringues dans les 1 245 centres d’accès au matériel d’injection (CAMI) du Québec pour prévenir le VIH et les hépatites B et C. On remarque qu'un pic a été atteint en 2013-2014 (plus de 2 700 000), et que le nombre de seringues distribuées diminue légèrement depuis.