Groupe scientifique sur l'eau

  • 27 Enero 2022

    Ce guide méthodologique présente les principaux paramètres et balises employés par le Groupe scientifique sur l’eau (GSE) de l’INSPQ pour : 1) proposer ses propres VGS ou 2) évaluer les VGS suggérées ou recommandées par d’autres organismes. La méthode décrite dans le guide découle d’une revue approfondie des approches utilisées par les organismes déterminant des normes et des critères pour l’eau potable et les aliments à l’échelle nationale ou internationale, ainsi que d’une revue de la littérature scientifique récente sur le sujet. La méthode pour déterminer la VGS d’une substance comprend trois étapes principales.

  • 12 Enero 2022

    L’accent de la revue de la littérature a été mis sur l’étude du lien quantitatif entre les données environnementales du SRAS-CoV-2 et les données épidémiologiques, en visant à répondre aux objectifs spécifiques suivants : 1) valider la valeur ajoutée des données environnementales à la surveillance de la COVID-19 à l’aide des données épidémiologiques populationnelles; 2) explorer les options méthodologiques à privilégier, les barrières et les facteurs facilitant l’intégration des données relatives aux eaux usées au système de surveillance sanitaire actuel de la COVID-19; et 3) documenter la prise de décision et les interventions des autorités de santé publique, qui pourraient découler de la mise sur pied d’une telle surveillance des eaux usées.

  • 10 Septiembre 2019

    Actuellement, aucune norme relative au manganèse ne figure dans le Règlement sur la qualité de l’eau potable du Québec. Le présent avis fait suite à une demande du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) en lien avec la présence de manganèse dans l’eau potable. Après une révision de la littérature scientifique et la consultation d’experts, le Groupe scientifique sur l’eau de l’Institut national de santé publique du Québec propose une valeur guide sanitaire (VGS) de 60 µ/L à prendre en compte lors de l’établissement d’une concentration maximale de manganèse dans l’eau potable au Québec. Cette VGS se base sur la protection des personnes vulnérables, en particulier les nourrissons alimentés par du lait de préparation commerciale reconstitué avec de l’eau du robinet.

  • 13 Junio 2019

    L’exposition au plomb de la population générale a diminué de façon importante en Amérique du Nord au cours des dernières décennies. Néanmoins, certaines sources d’exposition, comme l’eau potable, requièrent toujours une attention particulière. Si l’exposition liée aux entrées de service en plomb de bâtiments résidentiels est bien démontrée, l’exposition liée aux constituants en plomb de canalisation et de robinetterie de certains bâtiments institutionnels l’est moins.

    Puisque les jeunes enfants sont particulièrement susceptibles aux effets délétères du plomb, le présent avis se penche sur le risque potentiel que peut représenter la présence occasionnelle de plomb dans l’eau potable distribuée dans les écoles et les garderies du Québec. Des propositions sont également faites...

  • 7 Enero 2015

    L'adoption du Règlement sur la qualité de l'eau potable en juin 2001 par le gouvernement du Québec a engendré des changements importants dans la gestion de l'eau potable. À la suite de l'adoption de ce règlement et dans le cadre de ses activités de soutien aux directions de santé publique, le Groupe scientifique sur l'eau (GSE) de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a réalisé un ensemble de fiches synthèses sur les principaux paramètres du règlement ainsi que sur certaines conduites à tenir en cas de problème de qualité de l'eau.

    Ces fiches présentent notamment les effets possibles sur la santé associés à une exposition à divers contaminants de nature microbienne ou chimique. Elles visent également à expliquer la base des normes de qualité de l'eau...

  • 11 Abril 2005

    Les cyanobactéries, aussi appelées algues bleu-vert, sont des bactéries Gram négatif qui se répartissent en 150 genres regroupant quelques 2000 espèces. L’intérêt porté par les professionnels de la santé publique aux cyanobactéries découle du fait que ces micro-organismes peuvent produire des substances toxiques. Ces substances, appelées cyanotoxines, sont regroupées en trois classes : les neurotoxines (anatoxine-a, anatoxine-a(s), saxitoxine, néosaxitoxine), les hépatotoxines (microcystines, nodularine, cylindrospermopsine) et les endotoxines de nature lipopolysaccharidique.

    La problématique des cyanobactéries est présente un peu partout sur la planète et le Québec ne fait pas exception. Plusieurs plans d’eau (lacs et...

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