Bien que le risque réel pour le voyageur soit généralement faible, le temps prolongé passé en eau douce lors des activités telles que le rafting, le canoë, le triathlon, la baignade, la descente en tube, etc. augmente particulièrement ce risque.
Étant donné l’endémicité de la bactérie dans les milieux tropicaux et subtropicaux, il est important de bien informer le voyageur des risques de leptospirose et des moyens de prévention.